| | poemes de darkcricri | |
| | |
Auteur | Message |
---|
darkcristal Psychopathe des grands maux
Nombre de messages : 484 Age : 35 Date d'inscription : 04/06/2005
| Sujet: poemes de darkcricri Ven 21 Avr - 20:13 | |
| bon tout le monde s'en fout mais c'pas grave j'en mets quelqu'uns qui trainent sur mon didinateur
(par ordre alphabetique de nom quand yen a):
A la suite
Il y a un monde qui m’attend, Une petite chanson d’enfant, Me dit qu’elle m’entend, Et que mon sourire s’étend.
D’autres personnes vivent mes soupirs, Sans doutes n’entendent-elles pas mes rires. Je suis pourtant la seule à espérer fournir, A cette famille, des joies à s’offrir.
Je me suis donnée pour mission, De leur faire oublier la tension, Qui règne dans chaque tentation, Ou rêves de nouvelles pulsions.
Lorsqu’ils sauront s’en sortir seuls, Je pourrais me choisir mon cercueil, Et profiter, avant que la mort ne me veuille, Du temps qu’il nous reste pour écrire un recueil. ______________________________
A quoi ça sert ?
Dis-moi, à quoi ça sert ? Tout ces gestes rejoués en enfer ? Tout ces gens qui disent je t’aime. Alors que c’est la vie qui les mène. Je ne veux pas me battre contre ça. C’est trop et mes yeux brillent déjà.
Mais à quoi ça sert ? De se battre pour des amours éphémères. Et jouer avec nos âmes. Pour des choses que l’on oublie. Et le monde nous blâme. Et les belles choses nous fuit.
A quoi ça sert, Ces milles merveilles ? Pourquoi se battre au fond ? Pour un jour rendre les armes. On touche tous un jour le plafond. Pour faire couler nos larmes.
A quoi ça sert, ces belles choses ? A quoi il sert, le parfum des roses, Si on n’y pense pas plus souvent ? A quoi ça sert, si on l’oublie tout le temps ?
Dis-moi, a quoi ça sert, De garder notre âge pour nous ; De savoir si l’un fit la guerre, Où l’autre vécut les droits fous ? Alors, a quoi ça sert, De vivre sans fin sur cette terre ?
Mais a quoi nous sert, Ce pouvoir immortel, De dominer la terre, Si l’on doit se brûler les ailes ? Pourquoi les uns veulent partir, Et les autres veulent rester, Alors qu’on va tous mourir, Et que l’on ne nous oubliera jamais ?
Chaque geste a sa place. Mais quand l’on n’a plus d’espoir, C’est là que tout se casse. Mais pourquoi broie t’on du noir ? Après tout, un jour, notre empire finira, Et notre amour laissera sa place, A quelqu’un qui souffrira, Où un autre qui brisera la glace. _______________________
adieu aerith nous t'aimions reellement mais sephiroth t'as tuée sauvagement
adieu aerith on ne pourra plus se revoir adieu aerith tu nous laisses seuls dans le noir
adieu aerith tu es morte et non plus ici adieu aerith tu nous as meme pas dit
comment survivre a tout ça et comment survivre sans toi
adieu aerith surveille nous d'ou tu es adieu aerith repose en paix...
__________________
Alone
seule dans le noir abandonnée au desespoir j'attend a jamais une nouvelle vie a commencer
mais je me perds en desillusion la vie n'a qu'une version elle est dure est tranchante mais pas forcement mechante
alors j'attend et j'attend encore autre chose que la mort | |
| | | Gidget amical
Nombre de messages : 218 Localisation : Long Hard Road Out Of Hell Date d'inscription : 28/06/2005
| Sujet: Re: poemes de darkcricri Ven 21 Avr - 20:28 | |
| Mais j'adore franchement tes poèmes choupinette^^ | |
| | | darkcristal Psychopathe des grands maux
Nombre de messages : 484 Age : 35 Date d'inscription : 04/06/2005
| Sujet: Re: poemes de darkcricri Ven 21 Avr - 20:33 | |
| je continue alors :p
voila voila toujours en ordre alphabetique:
Ange gardien
il va revenir ça je le savais! mais previens moi quand ils seront la! empeche moi de les bousculer pour le tuer! retiens moi si je le vois! parceque dés lors, il sera mort!
ange gardien respecte ton nom! garde moi puisque tu ne l'a jamais fait! meme contre moi tu n'a pas bougé! es-tu mort ange gardien? ou t'ai-je simplement rejeté?
____________
Anges
Deploies tes ailes, Survoles le ciel, Et revis tes reves, Fais couler la seve, Des arbres au printemps, Toi qui t'occupes du renouveau, De la mort ou du faux.
Mais quand c'est vrai, Soit sûr que ça a été créé, Par un ange de beauté, Et que ça va durer.
Mais si jamais tes ailes se brisent, Apprends vite a rever! Pour qui si les problèmes t'enlise, Tu puisses encore t'evader, Tu puisses encore voler, Et vivre une liberté.
Proteges tes ailes! Proteges ta vie eternelle! Proteges ton droit de rever! Protege toi ange de liberté!
___________
Anges dechus
Il a tué tout mes espoirs, L'a t'il fait exprés? C'est pas ce gouffre noir, Qui me dira la verité!
Amour, amour ; Es-tu parti pour toujours ? Amour, mon amour; Reviendras-tu un jour ?
Mon coeur voit danser la mort et ses ailes, Et les suit comme dans une ancienne ritournelle. Beaucoups cachent ce temps par des desirs charnels, Mais le fait est que la vie est maladie mortelle
Amour, amour ; Pourquoi as-tu assassiné mon ame ? Amour, mon amour, Pourquoi m'avoir devoilé tout tes charmes ?
Tu m'as emmenée avec toi. Je ne voulais vivre que pour toi! Mais l'envie d'arretter était trop forte! La mort qui me voulait tant derrière cette porte!
Amour, amour, Tu as joué avec moi le voleur de coeur! Amour, mon amour, Tu as été le mot désenchanteur!
J'assassine les non-dits, Tu était l'amour de ma vie! Je détruit toutes les zones de mon coeur, Qui pourrait toujours me faire croire au bonheur!
Amour, amour, Tu as laissé derrière toi un champ devasté, champ de bataille! Amour, mon amour, Je n'ai pas cru a temps cette phrase: "c'est mes veines que je taille!"
Tu m'avais dit, oh mon coeur, avant ce soir-là: " Je prendrais mon sang pour t'écrire trois mots de vérité pure ! " Mais j'ai eut peur, je suis venue pour etre sure. J'ai trouvé la porte ouverte, j'ai vu ce sang en forme de trace de pas!
Amour, amour, Ne m'abandonne pas. Amour, mon amour, Je ne peux pas vivre sans toi!
J'ai suivi ce chemin tracé jusqu'a la salle de bain. Et j'ai vu que ces phrases n'etait pas pour toi de l'humour, Je t'ai trouvé etalé au sol, dans une flaque de vie, tel un pantin, Et j'ai vu ces trois mots de pure verité sur le mur.
Amour, amour, "Lilian, je t'aime !" Amour, mon amour, Tu m'as fait tant de peine.
J'ai ouvert les robinets d'eau froide; limpidité absolue. Cette verité je sais maintenant que c'est ton coeur a nu. Je veux te rejoindre, La mort n'est pas a feindre! J'ai mélé mon sang au tien, "Mon amour, sans toi je ne suis rien!"
Je me suis reveillée dans cet hopital, Dans cette chambre de loin trop pale! On m'a vite dit la vérité, Et je sais que j'en ait pleuré!
Amour, amour, Tu est parti sans moi! Amour, mon amour, Tu m'as laissée toute seule ici-bas!
______________
Apprends-moi
Quand tu es là, je deviens un oiseau, Qui apprend à voler auprès de toi. Tu sais tout de moi sauf mon dernier désir : Maman, il est temps pour moi de dire : « merci ».
Tu cherches à me ressembler, Il ne faut pas et tu le sais. Petite sœur, j’ai plein de défauts. Reste comme tu es, tu as ce qu’il faut.
Pourtant si petit et déjà si grand. Tu regardes le monde avec tes yeux d’enfant. Petit frère cherche à tout apprendre, Même si il n’est pas sur de tout comprendre.
Et moi dans tout ça je suis perdue. Mes poèmes mettent mon cœur à nu. Ma plume me rend romantique. Et, d’après elle, le monde est fantastique.
_________
Après mort.
Elle se redresse, le jour n’est même pas levé. Elle sort de ses draps trempés de sueur. Dans lesquelles elle dort seule depuis quelques années. Elle a encore rêvé ce qui lui a fait si peur. Et qui lui a brisé le cœur. Maintenant elle pleure. Elle se souvient, et même trop bien, De son chagrin qui vient de si loin.
C’était en plein jour, Jour plein d’amour, Qui se termine en drame. Une Bad story, Bien mal choisie, Qui a choisit les larmes.
Les larmes d’une mère, Qui vient de perdre ses enfants, Des drames éphémères, Qui pourrissent sa vie pourtant. Ses deux enfants n’avaient que des mois, Quand ils pleuraient, elle était là.
C’était leur mère, Sa passion, sa terre, Est trop loin pour qu’elle la voie, Alors elle reste perdue, comme ça.
Elle ne croit pas en revenir, Elle ne pourra que se souvenir, Et même sur son lit de mort, Elle pensera à ça encore.
Elle aime toujours ses bébés, Elle ne les oubliera jamais. Même si ils sont nés d’un acte insensé, Ce n’est pas eux qu’elle s’applique à détester, Mais leur père qui l’a aimée une fois puis oubliée, Et son propre père qui les a assassinés.
Elle se rallonge dans les draps défraîchis, Et rêve à une autre vie ; Mais revient encore et toujours, Ceux qui lui ont pris tant d’amour. | |
| | | darkcristal Psychopathe des grands maux
Nombre de messages : 484 Age : 35 Date d'inscription : 04/06/2005
| Sujet: Re: poemes de darkcricri Ven 21 Avr - 20:37 | |
| (j'continue j'continue ^_^)
Aveux
Mon rêve est de t’avoir prés de moi, Ce n’est que rêve, la réalité c’est pas ça. Je t’aime mais tu ne le sais pas, J’aimerais que tu m’aimes autant que moi.
Tout les jours je te vois je veux tout te dire, Te dire mes plus sentiments sans te mentir, Mais je recule car j’ai peur que tu m’envois balader, Que tu rigole, te moque et aille tout raconter.
Ton sourire me fait craquer, Personne ne m’avait dit que je fondrais, Rien qu’en te regardant où rien qu’en t’écoutant, J’écrirais ton nom mais chaque chose a son temps.
Crois-moi j’aime tout en toi, Je vois que tu ne comprends pas, Les regards que je te lance, Un jour je perdrais patience. Pourtant ce que je crains de pire, C’est le jour où tu comprendras mes sourires.
Pourtant te parler s’avère si facile, Il faudrait rendre mes sentiments dociles, Il faut que tu les saches, Et non que je te les cache.
_________________ (moment de revolte en plein cours d'anglais on peut s'appercevoir de mon niveau tres... merdique en anglais XD)
Before it’s too late
Je me demande pourquoi je me bat tout semble si vain. Chaque geste me mène sur le même chemin. Ce dont j’ai peur : que le monde fasse la même connerie qu’il y a quelques années. Pour un terre, une femme, un enfant ou quelques données. Que les femmes pleurent de nouveau pour un homme disparu, Ou pour des jeunes gens partis et jamais revenus. Chaque rêve, chaque minute me ramène a ça. C’est devenue une pensée ancrée en moi :
The world is not regular with me. The world is not regular with you. The world is not regular, Because is lost.
Je ne veux pas laisser taire une telle réalité. On a tant fait d’âneries que le monde est paumé. Là où les gens se pose la question fatidique. Là où l’espoir est tellement rachitique. Là où l’on en revient tous au même point : Pourrais-je vivre demain.
Before it is too late, Singing: The world is not regular with us. The world is not regular, but It’s because we’re destroyed all is can be. Then he is lost, alone for repair.
Avant qu’il ne soit trop tard, Chantons. Le monde n’est pas régulier avec nous. Le monde n’est pas régulier, mais C’est parce que nous détruisons tout ce qui peut l’être. Alors qu’il est perdu, seul pour tout réparer.
Ne nous jetons pas sur un homme pour l’incriminer, Alors que nous avons tous un jour, avec le feu, joué. Nous sommes tous victimes, De notre propre connerie. Je doute que l’on ait vraiment pris conscience, Que nous courrons droit sur notre déchéance.
I’m not regular. You’re not regular. We’re not regular with all. The world is not regular with us. It is fair, isn’t it?
Juste retour des choses. Non il n’y a pas de “pauses”. Le monde se venge des bêtises, Que nous lui faisons subir. Pourquoi nous plaignons-nous ? C’est notre faute si nous en sommes arrivés là ! Pourquoi souffrons-nous ? On est des c… voilà pourquoi !
______________________ (assez philosophique celui ci mais faut chercher)
Boulevard de l'horreur
Je ne laisse plus rien au hasard. Car la vie est comme un boulevard. Un boulevard de tueries, De pleurs et de cris, Ou règne la peur.
Au 118 rue de la terreur, Qui rejoint le boulevard de l'horreur, Vit une famillequi dévoile son secret: Elle ne vit que dans l'amour et la paix. Même si on les as plus que séparés, Que leurs parents furent massacrés, Par le boulevard tant controversé, Ils continuent toujours à s'aimer.
Par la sombre nuit, y aller est une tuerie ! Si vous tenter d'y vivre, vous y laisserez vos vies !
Mais qui viendra un beau soir, Me rappeler tout mes espoirs ? Le boulevard m'a enlevé l'envie, De trouver une bonne amie, Qui saura comprendre, Qui saura entendre, Mes si fortes douleurs, Mes peurs et mes pleurs.
Tu veux pas écouter, les cris que lance la nuit, Laisse moi te dire, ce qu'est le boulevard de tuerie.
Mais qui sera celle ou celui, Qui donnera un sens à ma vie ? Qui saur me faire oublier, Ma peur, ma souffrance et mon ennui, Et m'éviter de pleurer ou sangloter ? Qui peut oublier le boulevard de tueries ?
Si tu tiens à y aller, protége toi de l'envie. Si tu tiens à perdre, emméne des amis.
Car horreur rime avec splendeur, On croit prendre la route du coeur, Mais c'est le boulevard de l'horreur, Qui échange les rires avec les pleurs, Les cris de bonheur avec ceux de douleur, Celui ou les caïds ont trop peur, Et ou l'on ne parle que de rancoeur. Fallait pas confondre bonheur et horreur.
____________
C’est quand ?
Parce que je me sens vivre, Quand je ne suis pas ivre. C’est quand je t’embrasse, Que j’envois pisser ma race. C’est qu’au fond je suis qu’une merdeuse, Qui ne supporte pas les « nique ta mère ! » C’est que j’ai eu les larmes aux « yeuses », Quand ma mère a écouté le c.d. que je lui ai offert. C’est quand tu dors que je pense ça, M’man je t’aime, pour une fois je blague pas.
Putain, la fin des souvenirs, c’est quand ? Et mon vrai sourire tu me le rends quand ? Putain, vieux. Toi qui n’est pas là, C’est quand que tes dumbos entendront, Que ta cinquième enfant ne t’aime pas ?! Depuis que t’as pris mon corps pour ton vide con, J’ai envie de t’arracher ta raison de mettre un caleçon ! Et puis… T’arracher ta vie, c’est quand ? Vieux con !
Parce que quand tu pleures, j’ai envie de te suivre. Eh p’tite sœur, je t’aime toi et ta ive. T’es une vraie fille qu’a pris des coups. Et souvent t’as pu penser qu’il était soûl, Mais en vrai il était taré ! T’as souvent pleuré pour que j’arrête de frapper, Ces pauvres murs marqués par le temps, Et tout ce sang… Oh sœur, notre sang !
C’est quand p’tit frère que tu pourras oublier ? Oublier que t’était là quand ils l’ont serré. C’est bien que t’ais plus de souvenirs, De ce qu’il faisait de moi devant vous deux. Je suis contente et même fière de tes rires, C’est que j’ai porté plainte de justesse, un peu ! J’avais peur de ce qu’il pouvait faire sur la frangine, Alors qu’il a osé toucher mon grand frère !!! Ouais il est aussi homo, je l’ai appris et compris, Rien que pour toi j’ai encore plus les nerfs !
C’est quand vieux que tu sauras, Que c’est de toi qu’on parle ? Ouais, ça c’est toi vieux ! Sache que je ne pleurerais pas quand tu crèveras.
C’est quand je suis avec toi que j’oublie le vieux. Eh ouais ! Je t’aime et pas qu’un peu. C’est avec toi que j’ai découvert, Que les hommes ne sortaient pas tous de l’enfer. C’est de toi que seront mes gosses, j’espère. Je veux qu’ils ne connaissent pas mes coupures de verres. Notre mariage sera peut-être pas blanc, Mais j’espère qu’il durera cent ans. Je sais que je ne suis plus pure, Mais personne l’est donc toi non plus ; Je m’en fous je t’aime comme t’es, Et non pas comme tu serais.
Vieux, écoutes- moi, Malgré ce que t’as fait de moi, Malgré ce que tu m’as fait croire, (Je sais maintenant que c’était de la foire), J’ai réussi à aimer, Ouais ! Alors va te doucher !
Ket’ ! Toi, ton homme et ton p’tit je vous aimes ! Ouais et tout les trois d’amour je vous parsèmes. Parce que t’es ma sœur et que t’as aussi subi. Parce que t’es dans mon cœur pour moi il y a pas de demi.
Sam’ ! Toi et ta gosse j’vous aime aussi. C’est comme ass chez toi aussi ? Tant mieux ! Eh frère, crois-moi je t’avoue un peu : L’amour sœur/sœur, frère/frère, sœur/frère, y’a pas mieux.
Jo ! Pour moi t’es là même loin de moi, si, si ! Parce que t’as subi comme les autres tu sais ce que je cris. Tu me manques t’es trop loin pour que je te vois, Alors j’appelle et t’es plus prés que si t’était là.
Priss’, Princesse qui s’en est sortie. Sérieux, bravo ! Moi j’ai pas encore réussi ! J’appelle, j’espère que t’es là mais ça décroche pas, Je pleure : t’es encore plus loin car tu réponds pas.
Vieux ! Regarde-toi dans le miroir si t’ose ! A ta place j’oserais même plus respirer. Mais toi t’as plusieurs modes et t’as mis pause ! Putain ! Tu m’as même pas laissé de larmes pour chialer.
Pau’ ! Toi Sa première femme. Ma mère quand la mienne était pas là. Tu savais pas ce qu’il avait fait, A mon avis, t’aurais su, t’aurais tué.
C’est quand tu veux, vieux. Sors de ta taule qu’on s’explique. Mais si tu réponds pas, J’te conseille pas de faire gaffe à la haine qui me pique.
C’est quand que j’éteins ? Minute mam, je finis la phrase ! C’est quand que j’écris fin ? Ben, j’espère, avant qu’il crèvera.
C’est quand, vieux ? C’est quand que tu me rends mes larmes ? C’est quand que je sors mon arme ? C’est quand que je pourrais oublier ? C’est quand que tu vas te décider à demander : « Pardon mes petits ! Je vous ait tous détruits ! » ? Mais putain c’est quand ? C’est quand qu’il comprendras, Que c’est de sa faute si il a pris neuf ans ? Ben, en fait, c’est quand il voudra ! C’est quand ? C’est quand ? Le pardon, les rires et les larmes ? C’est quand ? Quand ? Quand ? Qu’enfin je pourrais soigner mon âme ? | |
| | | darkcristal Psychopathe des grands maux
Nombre de messages : 484 Age : 35 Date d'inscription : 04/06/2005
| Sujet: Re: poemes de darkcricri Ven 21 Avr - 20:42 | |
| (suiteuhhhhhhhhhhhhh)
Cet inconnu
j'ai decidé de prendre le diable par les cornes et de l'envoyer valser! je vais lui ecrire une lettre regroupant mes pensées!
les destructions qu'il a jugé momentanée, et que je n'ai jamais pu oublier! toutes ces choses qui m'ont appris a le detester, toutes ces cruautés qu'il m'a fait endurer!
je vais les lui cracher a la figure, et s'il faut rouvrir mes blessures, je le ferait, pour le tuer!
_____________
Changements
Voilà le temps des changements qui vient, On veut marcher devant mais on se souvient, Le passé cherchera à nous démonter, Il ne faut pas ne pas regarder.
C’est juste un moyen pour se mentir, Il suffit de croire en la vérité, Cette vérité que je vais te laisser : « Ce n’est qu’un souvenir ! »
« Récents ou lointain ils viennent te rappeler, Les bons moments faits de rires et de larmes, Mais comme tout souvenirs viennent pleurer, Les mauvais faits de cris et d’armes ! »
Les changements viennent tout seuls, On ne les force pas, Et c’est en se prenant des coups dans la gueule, Qu’on ne renonce pas, Et qu’on tient la coupe dans la main, Qu’on se dit : « ça valait tout ce chagrin ! »
_______________ (chansonnette ecrite pour un perso d'une de mes futures bd (je l'espere en tout cas) qui passe son temps collé a ses toiles)
Chanson de Celia
Laisser la peinture couvrir la feuille... Laisser l'amour ecrire un receuil... Laisser la vie prendre forme... Laisser mon coeur a un homme...
Lalala Laisser l'artiste faire son oeuvre... Lalala Laisser pourrir les couleuvres... Lalala Laisser agir le repos... Lalala Laisser sortir les mots...
Me laisser te dire "je t'aime" Me laisser faire taire les blasphemes... Me laisser aller dans tes bras... Me laisser aimer par toi...
Lalala Laisser l'artiste continuer son oeuvre... Lalala Laisser trouver les couleurs... Lalala Laisser faire l'irreel... Lalala Laisser mourir l'immortel...
Te laisser m'embrasser comme une arme... Te laisser essuyer toutes mes larmes... Te laisser t'endormir contre moi... Te laisser crier si ça ne va pas...
Lalala Laisser l'artiste faire son art... Lalala Laisser les formes faire leur devoir... Lalala Laisser l'amour ignorer l'impossible... Lalala Laisser la mort devenir ommissible...
Nous laisser nous aimer... Nous laisser delirer... Nous laisser faire notre vie... Nous laisser ignorer l'ennui...
Lalala Laisser l'artiste montrer sa creation... Lalala Laisser porter l'imagination... Lalala Laisser l'envie creer ses fruits... Lalala Laisser l'amour donner la vie... ________________
Collège
Plus qu’un jour de cours ici, Et puis le calvaire se finit. Ce collège que je n’ai pas choisi. Et puis tout s’arrête aussi.
L’histoire ne me veut pas là. Je ne veux pas vivre dans ce coin, Quand ça ne se fait pas. Tout ça ne me dit rien.
Leurs phrases me blessent, Leurs mots m’agressent. Et pour cette sale histoire, Je me taille de ce trou noir.
Quand ils me parlent c’est pour m’insulter ; Leurs stupidités peuvent me détraquer… Et quand je me mets à trembler, Ils pensent que je vais pleurer.
Alors que je rêve de les tuer, Et leurs bêtises, arracher. Mais je m’écarte et je cris, Et ma haine devient épilepsie.
Et c’est les murs qui prennent, Mes coups de poings, coups de haine. Et c’est lorsque je saigne, Que je comprends que j’ai de la peine. ________________
Comme des chiens
Regarde ces enfants dans la solitude, Qui ne croient même plus en leurs études. C’est la preuve que l’histoire change, Et que l’amour désormais se range.
Les humains se battent comme des chiens. Serais-ce le cas de ton cœur et du mien ? J’espère franchement qu’il n’en est rien. L’amour, la joie et l’amitié j’y tiens.
Eux ne survivent que par eux-mêmes. Ils pensent que personne ne les aime. Ils ne connaissent que la violence et la haine, Ils ont oublié l’amour et vivent la peine.
Ils ont vécus les quartiers nord. Ils n’acceptent plus aucun renfort. L’amour n’existe plus en leur for. Pourtant, certains y rêvent encore. _______________
Comme une louve
Je l'aime, lui. Lui dont je ne sais rien, Ou si peu, Lui qui m'a surement deja oubliée, Lui qui m'a hypnotisée...
Je l'aime, celui, Qui hante mes dessins, Et mes yeux, Lui a qui j'ai tant parlé, Mais qui ne m'a pas épargnée...
Je le sais trés bien Ca ne méne a rien, Mais j'espere follement, M'en sortir joyeusement...
Je n'espère plus rien de toi, Je sais si bien où ça me menera, Si je crois encore en un reve aussi flou, Un reve qui me rend malade comme une louve, A qui l'ont a tué les enfants, Qui n'a pas d'autre choix, Que de regarder droit devant, Sans même voir ce qu'elle croisera...
Je me sens si seule, si abandonnée, Dans mon coeur malmené, J'aimerais pleurer, Mais c'est deplacé, Que regretter ? Sur quoi pleurer ?
Il n'y a rien eut, Rien d'autre qu'un reve, Qui m'a monté aux nues, Avant qu'il créve...
Je devrais oublier, Mais mon coeur n'y arrive pas, A chaque minute passée, Il ne pense qu'a toi...
Veut-il que j'avance comme cela? Ma raison sait bien qu'elle ne tiendras pas! Et pourtant je sens bien au fond de moi, Qu'elle a deja laché, perdu pied, Qu'elle s'est noyée dans la culpabilité, Car mon coeur n'a toujours pas renoncé...
J'aimerais tellement oublier, Mais mon coeur ne s'est pas resigné, Je voudrais avancer, Mais ma raison s'est effondrée, Laissant agir un espoir completement fou, Qui m'achevera a tout les coups...
Je suis comme une louve, A qui on a retiré toutes illusions, Et l'amour qu'elle couve, La laisse sans consolation... | |
| | | Gidget amical
Nombre de messages : 218 Localisation : Long Hard Road Out Of Hell Date d'inscription : 28/06/2005
| Sujet: Re: poemes de darkcricri Ven 21 Avr - 20:44 | |
| Boulevar de l'horreur est génial !^^ | |
| | | darkcristal Psychopathe des grands maux
Nombre de messages : 484 Age : 35 Date d'inscription : 04/06/2005
| Sujet: Re: poemes de darkcricri Ven 21 Avr - 20:49 | |
| (mici mici je sais j'ai passé deux jours a l'ecrire mais il donne ce que je voulais faire passer)
couteau
tue la vie! arrache mes mots! fuis aussi! si c'est faux!
te mens pas a toi meme! tu sais que la vie est mortelle! c'est la mort qui mene! comme si on vivait pour elle!
dechire la vie! arrache sa peau! frappe et crie! coule a flot!
tout ces mots! melangés eparpillés! toutes ces eaux! qui refletent le vrai!
dans mes mains tue la vie! avec ma haine arrache mes maux! apprend a fuir aussi! si tu vois que tout est faux!
souffre en silence! on te regarde mourir! avec honneur et patience! par plaisir de souffrir!
avec ma force dechire la vie! que ta brulure arrache sa peau! toujours plus frappe qu'il crie! que son sang coule a flot!
tout ces maux tout ces mots! perdus, eperdues, melangés, eparpillés! tout ces lots, toutes ces eaux! Qu'on a oubliés, et qui refletait le vrai!
souffre en silence! Je te regarde mourir! avec haine et patience! par plaisir de te voir souffrir!
frappe une derniere fois! Ma force m'echappe faute a pas de chance! du sang partout autour de moi! mes yeux prennent ce reflet d'independance!
frappe siffle dans l'air! une derniere fois tranche sa vie! manié par un ange en enfer! qui a deja perdu jusqu'a son esprit!
coulant de sang je te laisse t'etteindre! te lachant au côtés de son corps mort! pour que la vie puisse a nouveau m'ettreindre! Je t'enferme abandonné a ton sort!
Adieu couteau que j'ai longtemps cheri et aimé! Adieu haine que j'ai souvent fait rejaillir! Adieu mensonges que j'ai cru realités! Adieu a tout ça je ne veux plus souffrir! ________________
Cristal
cristal qui avait mal cristal qui se sentait sale cristal qui avait peur mais qui brillait de mille couleurs
cristal qui tombe a genoux mais cristal qui voit le bout cristal qui brille couverte d'espoir de vivre
cristal qui suit la sortie de la psychanalyse cristal a compris elle n'est pas seule victime
cristal a souffert mais sort de l'enfer cristal sourit et vous remercie
thanks all je vois le bout c'est fini pratiquement merci! fini la depression fini les fausses ambitions j'ai vu la verité a moi se devoiler et je vais m'en tirer ! ____________
Danse ange noir!
danse ange noir danse
que dans tes pas ta vie s'ecrive
danse ange sombre danse
que dans tes joies tes espoirs vivent
danse petit ange danse
oublie les imperfections momentannées
danse s'il te plait danse
fais moi apprecier la vraie beauté
danse, oublie juste, danse
ne pleure pas pour les fausse verités
danse et vie danse
crie ta joie de liberté
et condamne la mienne puisqu'elle ne peut exister
puisqu'on me l'a volé et que je ne l'ai pas retrouvée
s'il te plait danse pour moi j'en ait besoin
danse comme je le faisais tout les matins
danse et vie puisque tu n'a pas le choix
soit tu danse soit tu te dechoie
je me suis dechue et j'ai tout perdu alors
danse petit ange oublie le reste ne fais pas attention aux autres laisse les dires au fond il sont jaloux de ne pas pouvoir danser eux memes!
ils veulent danser mais ont oubliés les pas alors
danse dark angel danse et oubli jusqu'a ta vie!
danse petit ange mais sans pleurer cette fois
personne ne vaut tes larmes et ceux qui les valent ne te feront pas pleurer!
alors danse sache que tu ne merite juste pas de pleurer ni de souffrir de nouveau
alors danse petit ange danse et oublie nous! ________________ (trés philosophique cui la aussi!)
Danse de la vie
joue un air petite fee un air emerveillé que mes pas se mele a ta musique et que cela devienne symbolique joue un air jolie fee emmene moi danser
s'il te plait je t'en pris joue un air pour ma vie je ne peux vivre sans ta musique je suis danseuse sur tes sons magique petite fee tu n'avais plus d'inspiration mais tu a relevé le ton et tu as joué un air un air mi sourire mi colere un air si merveilleux sans aucune faute et j'ai dansé, mes pas dans tes notes
et la tu continue de jouer et je continue de danser cet air ne s'arrettera jamais je ne suis pas epuisée et tu n'es pas essoufflée alors on continue a jouer je danse sur une musique magique et tu joue avec un air melancolique
petite fee de la musique tu avais l'air si sympathique mais pourquoi ne pas m'avoir dit que c'etait la la danse de la vie
et je continue de danser et toi tu continue de jouer ça ne s'arrettera jamais a moins que quelqu'un ne prenne le relai mais le seul relai qui existe encore c'est la ritournelle de la mort... _______________________
Danse macabre
danse macabre! je la sens se jouer autour de moi jour apres jour, ange de la mort! je la vois m'arracher ce qui me reste d'amour!
detruis-moi! puisque t'aime ça! tues-moi! puisque j'ai pas le choix!
ettouffes tout ce qui pourrait vivre en moi! brules mes espoirs et laisses les cendres me consumer! fracasses ma vie puisque elle n'existe pas! frappes mon ame elle est trop desesperée!
craches sur ma mort je ne suis deja plus la! insuffles moi ta rage que je devienne toi! attrappes mon coeur et enfermes le dans un coque en pierre! mais surtout empeche moi de leur ouvrir la porte vers mon enfer!
mais la vie passera par la! c'etait ecrit? elle te dira de partir loin de moi! tu lui as obeït! elle me prendra dans ses bras! je me laisserais faire! et m'enseignera les pas, d'un paradis sur terre!
danse petit ange mortel! et oublie ta peine! | |
| | | darkcristal Psychopathe des grands maux
Nombre de messages : 484 Age : 35 Date d'inscription : 04/06/2005
| Sujet: Re: poemes de darkcricri Ven 21 Avr - 20:51 | |
| (je continue-nue-nue)
Detruire
detruire ma haine la traiter avec rage avec souffrance lui faire comprendre,meme en nage, qu'elle est le sentiment genant et non pas le chainon manquant
donner ma peine, j'ai versé mes larmes, deversé ma seine, brisé mes armes, mais visiblement je n'ai pas donné assez pour vivre en paix
paix avec moi meme, oublier le plus dur, et que le "toi" qui m'aime, me prepare au futur, mais serais-ce assez pour m'arretter?
psychopathe des grands mots, jeune fille qui aime sourire, mais qui ne sait plus ce que ça veut dire fille souffrante au grand coeur, qui ne recherche qu'un morceau de bonheur je suis là, presente mais plus oppressante j'ai assez souffert dans mon enfer je souris a la vie puisqu'il faut vivre ainsi
mais je continue de detruire... tout ce qui m'a fait souffrir.... _____________________
Donne-moi !
Donne-moi l'impression que tu as une âme. Donne-moi l'impression que je suis une femme. Laisse-moi pleurer, laisse-moi souffrir. Mais surtout laisse-moi te dire.
Je t'aime et c'est comme ça. Je t'aime rien que pour toi. Je t'en prie, reviens moi. Je t'en prie, me laisse pas.
Ma souffrance n'a d'égal que ton indifférence. Ma souffrance se lit même dans ma patience. Les conclusions n'ont aucunes chances, De me paraiître comme des évidences.
Donne-moi l'espérance de vivre réellement. Donne-moi l'impression d'être aimée habilement.
Mais pourquoi combattre? Quand la peur me rattrape, Plus rien ne m'échappe, Et... Mon coeur... éclate. ______________________
Erotika
Laisse-moi t'envelopper de mon regard, Dans cette pièce a demie plongée dans le noir. Laisse moi carresser ta peau. Laisse-moi t'epouser comme un manteau.
Doucement tes mains apprennent mes formes. Doucement je me sens aimée par un homme. J'apprend petit à petit que je te plais aussi. Et j'aime sentir sur moi ton regard attendri.
Pourquoi n'ai-je pas compris plus souvent, Que même glacée comme le vent, Je restait une femme à aimer, Une femme à trouver.
Seconde aprés seconde l'exitation nous gagnes. Minute aprés minute nous menons notre bataille, De plus en plus ardemment, De plus en plus chaudement.
Certains n'aimeront pas ce que je dis, Mais je leur repondrait tant pis. Moi j'aime être embrassée. Sans être le moins du monde embarrassée.
Je t'en pris aime-moi, montre moi de quoi tu est capable. Montre moi que l'on peux grimper ensemble le plus haut des sommets. Même si tu prends ça pour une fable. Je veux apprendre ce qu'on est capable d'aimer. _______________
Echéance J’ai toujours voulu ta naissance, Il m’en a fallu de la patience.
D’échéances en déchéances. De malchances en malchances.
Par manque de surveillance, On t’a perdu à la naissance. Ce qui me rend si rance, C’est cette échéance.
Cœur de faïence. Perdre la patience.
Je ne veux pas savoir ce qu’on en pense, Moi je n’aime pas cette échéance. J’ai perdu sa naissance, A cause de cette malchance.
Perdre une naissance, Echéance ! Déchéance ! __________________
Ecoute-moi
Je vis d’un paquet de haine, De mensonges, de peines, la mauvaise graine. Mais a chaque fois que je cherche à te le dire, Tu trouves le moyen d’esquiver et de t’enfuir.
Et a chaque fois que je viens, Que je te dis que je ne vais pas bien, Tu me une porte couleur ambre, Et me réponds : « Va ranger ta chambre ! »
A quoi ça sert de te parler, Quand tu ne sais pas m’écouter ? Tu ne m’écoutes pas ! Tu n’entends même pas !
Le manque d’amour d’une mère m’a touchée, Le manque de vie de ma mère m’a explosée. Cela ne me laisse pas si indifférente. J’ai du beaucoup trop être patiente.
Et à chaque fois que je te cherche, Que je te tends une perche, Chaque fois que je tente une approche, Toi, qui dit manquer de tout, me le reproche.
A quoi ça sert d’exister, Quand tu ne veux pas m’aimer ? Tu ne me cherches pas ! Tu ne vis que pour toi ! Mais… Aide-moi ! __________________
Embrasse moi
prend moi dans tes bras embrasse moi aime moi je t'en pris reste pres de moi je t'en supplie ne pars pas
je t'aime alors aime moi fais moi comprendre que tu tiens a moi enlace moi et serre moi fort blottis moi contre ton corps laisse moi entendre ton coeur se rythmer a mon bonheur
je t'en pris ne pars pas reste contre moi et que le temps s'arrete je n'y voit aucun inconvenient tant que ton regard d'amant se posera sur ma tete | |
| | | darkcristal Psychopathe des grands maux
Nombre de messages : 484 Age : 35 Date d'inscription : 04/06/2005
| Sujet: Re: poemes de darkcricri Ven 21 Avr - 20:58 | |
| Encaisses
une nuit de pleine lune, le coeur dans la brume... l'esprit enchanté, telle est ma destinée...
solitaire mature, ame en pature... enfant a la recherche d'amour, amour qui rimerait avec toujours...
priée de ne pas souffrir, elle encaisse avec sourire... elle ne pleure meme plus en silence, mais elle reste une ame en souffrance...
Et sa santé decline, Deja la mort s'imagine pouvoir l'envouter la faire tomber...
Mais telle une vaillante, notre ame acceuillante, sourit et tiens debout, sourit en prenant les coups...
certains ne lui sont pas destinés, mais elle encaisse sans flancher, meme si son ame se dechire en cris et larmes, jamais elle ne pourra baisser les armes...
tout ces gens qu'elle aime, toutes ces passions qui l'emmene, jour aprés jour nuit aprés nuit, au bout de ses envies...
Elle ne peut pas abandonner, ne serait-ce que pour le bonheur qu'elle connait, la joie qu'elle eprouve lorsqu'on pense a elle, l'impression de vivre qu'elle a lorsqu'elle sort de son sommeil... ____________ Enfant torturé
Tu voulais Un paradis sur terre Tu esperais Un medecin pour ta mere
Tu etait Un soldat de coeur Tu revais D'un monde sans peur
Mais ces hommes Sans reve ni espoir Autre que l'argent Mais ces tonnes De merdes avares misait ta vie d'enfant
Sur un futur infernal Sur une mise au point theatrale
Tu revais D'un nouveau monde sans guerre Tu revais Qu'un monstre les fasse taire
Tu esperais Qu'une etoile sauve ton pere Tu pleurais De n'avoir jamais connu ton frere
Tant et tant Ont tenté de s'exprimer Tant c'est autant De morts prematurées
A cause d'enfants du diable Enfants nés sous le voile De la plus immonde des damnation: Vivre sans emotions
Tu a tenté De leur dire que tu voulais vivre Tu as crié Mais les mots ont coulés, ivres
Il a giclé Ton sang dans le sable Il a pleuré L'enfant dans son etable
Toi qui t'es battu SOldat inconnu Toi l'enfant qui souffrais Toi l'enfant que personne reconnaissais
Toi qui n'a pas eut le temps d'etre heureux Toi qui faisait semblant d'etre joyeux
Enfant né de ceux Qui ont oublié l'humanité Enfant retourné aux cieux Puisses tu trouver la paix
Puisque tout le monde t'as oublié Puisque personne n'a jamais su que t'existait Puisque tu m'as laissé la place en partant Je compte bien le faire entendre
Enfant torturé Par sa propre famille Enfant martyrisé incapable d'etre une fille
Obligé d'etre un objet Entre des mains mal intentionnés Enfant dont le sang a coulé Dans ce sable dans lequel ils sont nés
Ces maux qui ne sont que des souvenirs Mais qui restent aujourd'hui des martyres Ces maux qui existent autre part Ces maux qui forment un ocean plus qu'une mare
Ces maux que l'enfant qui a grandis veut detruire A coups d'autres mots plus violent que le plus grand des satyre
Avec ces mots qui violent le silence Avec ces mots qui se veulent denonciateur Avec ces maux et ces mots qui dansent Avec ces horreurs qui font si peur
L'enfant desire encore faire comprendre A ces adultes sans parents ni cendre Qui ont detruit et detruisent encore Qu'un jour ces coups ne seront plus que des morts
Que la vie continue malgré la souffrance Que l'enfant torturé rendra les coups en puissance Que les amis soignent la plus grave des blessures Que la tendresse calme la peur la plus dure
Que l'envie d'exister perdure si on la trouve Et que les souffrances données seront rendus Que le coeur d'un enfant est defendu par une louve Qu'une once d'espoir se multiplie au centuple
Mais surtout que la souffrance Ne remplace pas l'existance Chez un enfant ensanglanté Qui marche seul depuis des années... ________________
Enfantin
Toujours on m’a dit, quand j’étais petite : « Est-ce qu’un jour, enfin, tu vas grandir ? » Grand Dieu, j’espère que non ! J’espère rester sans ambition. J’espère ne jamais vous ressembler, Car je n’ai aucune envie de tuer. Quand je serai grande je voudrais être petite. Mais avec le temps qui passe si vite, C’est bientôt fini d’avoir quatre ans, Un jour viendra, dans pas longtemps, Où il y aura un zéro derrière, Où ce sera mon tour d’être mère. Eh bien ! Tous crétins que vous êtes là, Sachez que j’aurais encore l’esprit d’enfant, Pour dire aux miens : « Faites comme moi, Ne grandissez pas ! Oubliez le temps ! » Car si c’est pour faire comme les grands, Qui eux s’amusent avec le temps ; L’un fait le mort, l’autre l’assassin. C’est un jeu d’argent, un jeu de rien. Alors si je suis obligée d’en arriver là, Sachez que si je peux être le roi, Et que rien n’y change, Pas même les beaux archanges, Je préfère être le mort pour rien, Plutôt que le roi, l’assassin ! _______________
Espoir
Un espoir est mort, ma vie en dépendait ; J’essaie d’y croire encore, car je l’aime, je sais. Pourquoi m’avoir refusée ? Je n’ai pas compris. Tu m’as pris ma liberté, mon espoir et ma vie.
Je n’ai plus aucune chance, à part m’enfuir. Mon cœur n’a plus de cadence, il soupire. Mon esprit reste dans une brume infernale. Mon amour s’écrit du bout de ma plume, pas normal !
Toutes mes amies ne m’ont pas compris, Même moi, parfois je me poursuis. J’essaie pourtant souvent de m’échapper. Mais cet amour n’arrête pas de me rattraper.
J’ai bien essayé d’aimer celui qui m’aime tout haut. Je n’y arrive pas malgré les années et le fait qu’il me vaut. Quand tu es arrivé, j’ai été foudroyée. J’ai tout fait pour t’oublier mais tu m’as marquée.
Je ne sais plus où en est ma vie, Mon esprit s’est enfui. Je suis sûre d’une chose et c’est ça : Je n’aime que toi. ________________
Et si...
Ses parents et ses amis se sont fait massacrés, Son amour propre à été plus que déterioré, Sa famille et lui ont vécus la guerre, Nous on s'plaint mais on vit pas l'même enfer...
Et si la guerre pouvait s'eviter...
Mais quel sera son avenir, Quand on ne sait que souffrir ? Il verra mourir sa femme, Ses enfants sans états d'âme...
Et si la paix pouvait s'ajuster...
Survivrons-nous quand cette peine, Nous atteindra ? Eviterons-nous cette haine, Qui reviendra...
Et si la vie pouvait rester...
Et si avec des si, On enfermait Paris ? On ferait tourner le monde à l'envers, Et on ne toucherait plus terre...
Et si le monde pouvait changer... ___________
Ghetto
Hey ! Moi aussi je viens de là-bas. Je viens du ghetto tout comme toi. Là où tu sais que l’état se fout de toi. Le ghetto des familles dites sales. Un endroit où tu ne loves pas ta go. L’endroit ou vit le plus sale du ghetto. Ici les pères font que la loi n’existe pas plus que ça. Où les gosses suivent la voie qu’indique cher papa. Ils aiment tourner les gamines dans le noir des caves. Elles finissent sur le trottoir et leurs âmes sont graves. Les fils pensent que l’ancien a fait le bon choix, Alors ils veulent suivre le chemin de papa. Ils perpétuent les crimes. T’étonne pas de leur sauvagerie, Ici tu n’as pas la justice qui les punit, c’est la vie. Moi je viens de là ou l’espoir n’offre pas de justice. Où les keums violent des meufs et prennent deux mois d’hospice. Où les meufs niquées par leur pères et leurs potes du jour au soir, Où les meufs rabaissées de toutes parts finissent sur le trottoir. Les filles s’adaptent à leur statut de filles faciles. Et pour cent balles apprennent à être dociles. Pour filer les trois-quarts à leur proxenète. Un soir, dans le noir elles chopent la perpét’. Moi je viens de là-bas et j’ouvre grand ma gueule. Pour enc… les proxos et en faire un recueil. Pas pour siffler leur putain d’acompte. Moi je viens du peuple où l’on ne se rend pas compte, De la souffrance des mères, De la violence des pères, De la bêtise des frères. Et les filles supportent ce calvaire. Moi je connais cet effet de serre. Je veux parler de leurs lois d’enfer. Briser la loi de la peur. Flinguer la loi de l’horreur, Oublier la loi de l’honneur, Sortir de leur enfer mes sœurs. Changer le ghetto famille à blem’. Et faire récolter a chacun la merde qu’il sème. Moi je sais que là-bas la justice n’est en aucun cas un espoir. Que les violeurs s’en tirent à coup de deux mois dans le noir. Où les girls qu’ont pas de grand frères, Vivent en plus les lois des autres pères. Où les criminels passent au correctionnel, Et, sans conditionnel, peuvent faire appel. Où les victimes se font traiter de taspés, Et savent que ça ne s’arrêtera jamais. Où les criminels, dés qu’il sortent de taule, Brisent d’autres vies en cherchant une piaule. Où les victimes apprennent qu’elles ont le V.I.H. Et pensent chaque nuit à ces séances trash. Et dans chacune de leur cellules, Vit une rage qui nous insulte. Et dans chacun de leur kilos, Vit une haine qui fait écho. Moi je connais, j’ai vecu famille à blèmpro, J’étais la fille qu'avait besoin d’un grand frère go. Mais l’était pas présent, Pas là au bon moment. Je viens du ghetto ou ya pas de justice, Où les tueurs tirent deux mois d’hospice. Je viens du ghetto, Tendance blèmpro. | |
| | | darkcristal Psychopathe des grands maux
Nombre de messages : 484 Age : 35 Date d'inscription : 04/06/2005
| Sujet: Re: poemes de darkcricri Ven 21 Avr - 21:03 | |
| Guerre psychologique
Ca y est le train part et tu est dedans, Et que tout ou rien se passe je t'attend. Je sais que tu vas combattre pour l'honneur du pays, Mais où que tu sois je te préfére dans mon coeur et ici.
J'ai peur qu'un soldat frappe à ma porte et me dise : " Je suis désolé, votre frère est mort pour la patrie. " Que cette pensée à elle seule me detruise. J'ai envie que tu restes ! Reviens je t'en pris !
Et que tout ou rien ne se passe je comprend, Que tu ais peur et que tu n'as que seize ans. Moi qui en ait quinze je pars dans un an. Je t'en pris restes en vie pour moi ! Attends !
A toutes ces familles qui perde un frère ou un père, Dans une effusion de sang inutile qu'on appelle guerre, Cette stupidité humaine qui nous pousse à proteger une terre, Qui ne nous appartiens pas, en laissant notre vie pour l'enfer, Pour tout ces gens qui ne reviennent pas, Pour tout ces enfants qui n'y voyent pas, D'espoir de survivre au delà de dix-sept ans, A ces mères qui enterrent trop souvent, Leurs sourires derrières les murs trop moches, Qui cachent les visages de leur proches. A tous ces gens qui reviennent avec une tête, un corps, Mais plus de membres, et qui n'ont qu'envie de mourir encore, Pour tout ceux qui sont torturés pour trois mots de morse, Et qui ne reviennent qu'avec une étoile plaquée or sur le torse. ______________________
Harcèlement
J’ai mal au cœur, Car une rancœur, Cherche à m’anéantir, Alors que je soupire.
Ce matin le portable a sonné, Depuis j’ai envie de me jeter. Ce n’est pas la première salade, Mais ça me rend malade.
Au fond de moi la colère, Cherche à exploser la terre. J’en ai marre ! Lâchez-moi ! Je l’aime et ne le quitterais pas.
Toi, tu veux que je le délaisse, Pour que je te le laisse. Un autre veut que je casse, Pour qu’entre lui et moi un coup se passe.
Ma parole vous avez fumé ? Non ? Ben moi je ne cause pas aux enfoirés ! Et chaque semaine, au moins un appel, Qui se termine toujours par « je te rappelle. »
Je connais ni ta gueule ni ton nom, Mais déjà je te traite de con. Un couple uni ça se brise pas, Même si nous on baise pas.
Pour moi, l’amour ce n’est pas du cul, « Je t’aime » rime pas avec « moi non plus ! »
Alors, lâchez-moi ! Arrêtez ça !
Comment t’as eu mon phone ? M’en fous ! Je ne veux pas que tu me téléphones !
J’en ai trop marre, De ces putains d’histoires !
La prochaine fois, Je suis sûre que tu ne m’auras pas… _____________________
Hard life
Eh ! Bébé ! Qu’est-ce que tu fais ? Pourquoi tu t’es levé ? Non ! Pas ça ! Pas encore ça !
Mais pourquoi veux-tu me frapper ? J’ai passé ma vie à bastonner, Et j’suis victime de mon pote ! Kestufé ? C’est devenue ma phrase sacrée. A peine je rentre, j’suis déjà par terre, à chialer ; Et lui y fume un joint pour s’calmer.
J’suis d’la gêner’ hard life, Et ça m’vénér’, Hard life. T’en a qui vivent sans complexe, C’est boite, bédaf et sexe.
Et moi c’est plutôt coups et haine ! Hard life ! Et moi c’est plutôt rentre et peine ! Hard life ! Comment t’as fait pour être aussi trash ? Tu peux pas inventer que c’est le hasch.
Parce que même quand je n’paie pas cash, Tu peux quand même pas dire que ça te fâche. La vérité elle est là devant toi et devant moi, J’réfléchis, j’ne pense pas comme toi,
Le vrai d’l’histoire est sous mes yeux depuis l’début, Mais elle était sous forme de rébus ! Et j’avais beaucoup trop bu ! Et j’étais trop à la rue !
J’avais pas compris, pas réfléchit, Et ça m’a souvent gâché la vie. Maintenant tu me bats pour ton pognon, Ou ton putain d’honneur à la con.
Mais même par courrier je n’avais pas demandé ça ! J’voulais d’l’amour par camion, par tonne, moi ! Et j’ai eu droit aux coups bas, interdit par la loi, Ça marchait à tour de bras, comme prouver qu’on est roi chez soi !
Mais même moi bourrée, Je n’t’ai jamais tabassé ! Pourtant j’en ai de la haine ! Mais toi la barre du ‘Xplose t’as largement dépassé ! Et maintenant j’vois s’vider tes veines !
Le sol s’inonde ! Ton âme immonde, S’écoule là où tout s’écroule, se vide easy par terre, Dans des couleurs sorties des bras de mon enfer.
Malheur : moi j’veux le paradis. Mais sans toi mon faux ami.
Sans toi mon ami ! Car je n’veux plus d’ta vie ; Une vie pourrie, A vivre ici, Comme ceci. Trop facile, De rentrer dans un moule, Et de faire comme les autres veulent.
Moi, j’ne veux pas massacrer, Ce que Dieu a créé.
Parce que toi t’es bédaf acéré, (c’est la hard life) Et que moi j’cherche plutôt à m’sevrer. Parce que toi, t’as cherché à m’tuer, (C’est ça Hard life) J’Say que notre love est terminée.
Bye bye Bébé, T’as pas cherché à arrêter. _________________ (cui ci me tire des larmes parfois)
L'histoire d'un espoir
C'était un matin comme tout autre, Un réveil empli de fautes. Un sommeil gâché par les cauchemars. Un jour de plus à en avoir marre. Je me douche, m'habille, prépare le petit déjeuner, Sans, comme d'habitude, personne pour le partager. Même pas une amie à qui parler. Dire qu'il fait beau en cette matinée. Je me lève, prend mon sac et m'en vais. Je sens encore le goût du chocolat sucré. Puis au coin de la rue on s'est bousculés. Mon pull s'est accroché et s'est déchiré. Et pendant longtemps tu m'as regardée. J'ai pris ma journée pour t'observer, Et trouver un moyen de t'embraser. Dés la première seconde je savais que je t'aimais. Et puis toute la journée, Ensemble on a été. Et pendant qu'on dînait, J'ai su qu'un espoir était né. Et le lendemain tu m'attendais. Pendant des semaines on riait. On allait partout et on regardait. On osait tout et on vivait. Et pendant ces belles et grandes journées, Mon coeur me disait que l'espoir vivait. Tout ce que j'espérais voulait l'éternité. Et toi tu souriais, je croyais que tu m'aimais. Et toi tout les jours tu m'attendais. Et moi je voulais que ce soit vrai. Puis un jour tu as dit que tu rentrais. Que nos destins croisés allaient se séparer. Et à ce moment mon coeur me disait, Que c'était fini l'espoir se brisait. Je t'ai attendu des jours encore, Mais l'espoir était bel et bien mort. Mon coeur sait que je t'ai aimé. Mais l'espoir en moi allait s'effacer. Les jours ont vite repris leurs habitudes, Avec dans chaque heure la même solitude. Le prochain c'est vous qui l'écrirez, Car moi mon espoir est terminé. _______________ (et on remarque encore mon niveau tellement culturé en anglais XD)
I love you
If I love you, Moreover, if you hate me. If your love is impossible, And if your heart is closed.
Saches que je t’aime, Même dans la peine. Même si tu ne m’aimes pas, Je ne peux vivre sans toi.
J’aime ta beauté intérieure, Yeah ! J’aime ton cœur.
I love you! I love your heart!
I love you, baby! I love your heart, honey! _______________ (cui ci par contre l'effet "bebe" est voulu)
I speak dream
Des fois je parle de rêves. Des fois je parle comme un rêve.
Quelque fois je survis de toi. Quelque fois je survis des rêves.
Des fois je t’aime. Des fois j’aime les rêves.
Quelque fois je te déteste. Quelque fois je déteste les rêves.
Parce que, des fois, je meurs de toi. Parce que, des fois, je meurs des rêves.
Des fois, je parle de toi. Des fois je parle de rêve.
Quelque fois, je parle comme toi. Quelque fois, je parle comme un rêve. ________________
Innocence
claire innocence joie d'esperance je parle de toi tu vois que moi
tu es la, tout calin, tu me reveille en ronronnant, tu me sors de mon sommeil j'ouvre les yeux et te vois toi un ange au dessus de moi
un cauchemar? je ne sais pas je l'ai oublié en me reveillant peut-etre est-ce pour ça que tu es la pour que j'oublie le reste en te regardant
je te vois et le cauchemar s'efface je souris tu me mordille et m'agace mais c'est pour toi un jeu d'enfant un jeu de chat, de maitre et pourtant
je me reveille en souriant en me demandant si tu vivras tres vieux ou si je me reveillerais sans toi dans mon pieu
tu veux a manger donc tu me fais bouger tu veux des calins ya qu'a me reveiller tu le sais, je le sais, je dis: "le maitre, c'est moi!" mais ya pas de maitre, juste deux rois
qui jouent ensembles dés le matin, tel deux enfants complicitée etrange entre deux etres si differents un maitre et son chat tout simplement deux rois
on regarde sur le balcon les oiseaux piailler on miaule ensemble pour les faire voler tendre innocence... simple resonnance entre deux etre differents qui se comprennent pourtant! tendre "enfance" au matin d'une journée d'errance
Oo si la matinée pouvait durer toute la journée oO Oo je vivrais un reve devenu realité oO | |
| | | darkcristal Psychopathe des grands maux
Nombre de messages : 484 Age : 35 Date d'inscription : 04/06/2005
| Sujet: Re: poemes de darkcricri Ven 21 Avr - 21:05 | |
| Insignifiant
Indroyable, impossible, désespèrant, cupide. Cette histoire, bien stupide, Me donne pas envie de continuer. Mais, pour l'instant, rien ne va m'empêcher, (Putain de vie) De crier ma haine, (Putain d'enfer) De gueuler ma peine. Je veux de ce qu'on me prive, Pour que mon âme en vive.
Putain de vie, putain d'enfer! J'entends mes cris heurter la pierre. Arrêtez vot'machine lançée à plein tubes! Mon âme ne s'enferme pas dans un cube.
Laissez-moi me nourrir de sa déchéance. Laissez-moi vivre, rire de son errance. Oh! Seigneur, aide-moi! Sauve-moi! Crois-moi! J'ai besoin de toi!
Pour que mon coeur vive de son sang. De tout ce qui coulera de lui, n'importe quand. Images choquantes, paroles choquantes, vies choquantes. Eloignez vos âmes sensibles: Je suis pas patiente!
Hey!
Laissez-moi vous aidez! _Putain de vie! Moi aussi je veux le voir pleurer! _Putain d'enfer. Le voir saigner, crier, la douleur l'enflammer! _Je veux de ce qu'on me prive. Comme tout ce qu'il a en moi brisé! _Pour que mon âme vive. Pour que mon âme en vive!!! ______________
Jugé
Je sais que je peux le détester, Car ce salaud m’a violée. Son procès s’est écoulé, Le 29 avril m’a massacrée. Je croyais pouvoir le conjuguer au plus que parfait. Mais je n’avais que cinq an quand il a tout brisé. Si je te jure il m’a bousillée. Il a profité de mon innocence. Je me sens mal, cassée, Et quand j’y repense…
Maintenant j’ai seize ans, Mes barrières ont été brisées. Il y a tellement longtemps, Mais ça paraît si prés…Trop prés.
Pourquoi a t’il fait ça ? Je n’avais rien demandé, moi ! Je me sens décoller, de plus en plus morose. Plus ça va plus j’augmente les doses. C’est moins fort que le h.l.v. Mais ça arrive autant à te niquer. J’ai crié, j’ai lancé des appels. Je suis même allée chercher une pelle, J’ai commencé à creuser ma tombe, Mais c’est carrément l’hécatombe. Je veux pouvoir crier au secours ! J’ai le sentiment de vivre sans amour. Je sens les autres profiter de ma décadence, Et moi, tout d’abord, j’y repense…
On m’a souvent dit que je parlais pas assez. Et maintenant on me dit de la fermer ?! Il faudrait savoir ce que vous voulez. Hey ! Attendez ! Je n’ai pas terminé !
Il me faut du calme, de la patience, Car, en ce moment, j’y repense… Il va falloir trouver un moyen de rattraper, Les 16 années qui se sont écoulées. Seize ans à pleurer, seize ans à crier, Seize ans à me suicider.
Et dans mes rêves les plus beaux, C’est lui qui mourrait. Et quand les mots sonnaient faux, Ce sont mes larmes qui coulaient.
Je veux qu’il paie, Pour tout ce qu’il a brisé. Car je ne pourrais jamais reconstruire, La jeunesse qu’il a réussi à détruire. _____________
Just live
I try to be happy! I try to smile! I try to gard my fever! I try to retain my tears! I try to hide my punishement! I try to guard hope! But I fool myself!
It's a lie! I'm not happy, I'm sad! I can't smile, just cry! I can't guard my fever, because I'm cold! I can't retain my tears, 'cause I has not any more! I can't hide my punishement, 'cause I'm a victim... I try to guard my hope, 'cause it is all that it stays in me! But it's so unfair!
I want to be really happy! I want really smile on my face! I want something to re-warm me! I would like to find my tears! I want to be repaired! I want to leave my sadness! But it can't be!
I just want to live! _______________
La lettre.
Je t’écris une lettre couverte de rimes, Avant que le temps ne glace l’échine, Du plus beau mot de tendresse, Dont si peu sont sous l’ivresse.
Je veux te faire parvenir mes sentiments, Cassé, et fracassé, ils le sont souvent. Mais, t’inquiète, je t’amène le meilleur, Sache qu’il a le don de mettre en pleurs.
J’ai trop longtemps erré, Pour apprendre à aimer ; Mais dis-toi que la vie, N’a simplement pas de raccourcis.
Prends ton temps ! Ton seul engagement, C’est de surmonter, Les épreuves à passer. ________________
La planete mourra
Et la planete mourra........... tuée par ceux qu'elle a bien voulu heberger.... la planete mourra.......... sans que personne ne s'en soit soucié......
emmene moi tue moi s'il le faut mais sort ta derniere arme.... morte sans souffrance.... ne pense pas que tu est seule a verser ces larmes... c'est ce que l'on pense........
et la planete meure....... inlassablement detruite par ce qu'on appelle l'humanité......... et la planete se meurt........ bousillée par ceux qui se jugent plus haut placés.... | |
| | | darkcristal Psychopathe des grands maux
Nombre de messages : 484 Age : 35 Date d'inscription : 04/06/2005
| Sujet: Re: poemes de darkcricri Ven 21 Avr - 21:09 | |
| Là-bas.
Pourquoi partir là-bas ? Je ne comprends pas. Pourquoi si loin de moi, Là ou je n’irais pas ?
Là-bas, là où je ne serais pas. Si tu t’en vas, je ne vivrai pas.
Je ne peux abandonner ma famille, Même pour toi. J’aime tes douceurs vanille, Mais je n’irai pas.
Là-bas, je ne survivrai pas. Pars ! Mais ce sera sans moi.
Sans toi, c’est ma mort qui est assurée. Là-bas, je me sentirai détestée.
Là-bas, jamais ! Jamais ! Là-bas, jamais je n’irai.
Je ne te suivrai pas, C’est dur mais comme ça ! Malgré tout mon amour pour toi, Tu t’enfuis là-bas. ______________
Larmes
tel un cristal aiguisé, elle tranche ma joue avec sa souffrance, tel une horreur deguisée, elle m'enlace dans sa danse...
larmes douces ,larmes amer, toutes aussi belles et severes, tranchez mes sentiments et ma peau, que vos soeurs viennent faire echos...
j'ai besoin de vous de toute façon, de vous c'est ma rançon, la rançon pour rester humaine, afin que la vie reste mienne...
larmes si douces, si affutées, venez me dechirer, venez me transpercer, mais je me suis trompée vous n'etes pas des larmes, ce n'est pas mes joues non plus, ce sont toutes sortes de lames, belles blanches armes, tranchant ma vie sur mes bras nus... _________________
Chere Laura, Ce soir je pense a toi, Je me souviens de ta voix, De ton sourire, de tes doigts, Qui ont essuyés mes larmes quelques fois, De tes mots qui ont tracés ma voie.
Chere Laura, Ce soir je parle de toi, Certains disaient que tu mentais sur tout, Et que tu ne savais faire que des mauvais coups, Mais la clé que je cherchait, C'est bien toi qui me l'a donnée.
Chere Laura, Ce soir je pleure pour toi, Je me souviens de ce jour si sombre, Ou j'ai quitté les locaux dans l'ombre, Quand je suis revenue brisée et rabaissée, Il n'y a que toi qui a compris ce que j'avais.
Chere Laura, Ce soir j'ai mal de toi, Tu m'as simplement dit : " Vis pour ceux et ce que tu aimes! " Ce jour là c'est toi qui a effacé ma peine, Toi qu'on decrivait comme une criminelle, Toi qui m'a dit une telle merveille.
Chere Laura, Ce soir je souffre pour toi, Beaucoup plus tard j'ai appris, Que tu avais plongé dans la folie, Qu'avec une autre fille dans le noir, Tu as poignardé un homme dans un couloir.
Chere Laura, Ce soir je me souviens de toi, De ton sourire, de ce jour que j'avais oublié, De toi qui m'a donné gracieusement ma clé, De toi qui m'a dit d'avancer, De ne pas oublier et de me forger.
Chere Laura, Ce soir je prie pour toi, Car tu m'as guidée sur la bonne voie, Je prie pour qu'aussi a toi, La bonne clé soit donnée, Et que tu puisses avancer.
Chere Laura, Ce soir je pense que toi, Tu voulais sauver quelqu'un, Pour qu'une fois au moins, On te dise : "merci Laura!", Mais j'aurais aimé te sauver, toi!
Chere Laura, Ce soir je te dit a toi: "Merci et pardon, vraiment! Je n'ai pas compris a temps, Que tu souffrais au fond, Mais que la souffrance n'a pas de fond... Ce soir je te l'avoue Laura, Tu n'est pas folle, je ne le pense pas. Ce soir je te l'ecris Laura, Je prie pour que les etoiles te fassent parvenir ces mots, Je pense a toi si fort, Laura. Et j'espere que quelqu'un de doux apaisera tes maux." _____________
Le chat malheur
J’avais fait le pacte de te protéger, Avec un chat aux yeux bridés. Mais malgré le fait que j’ai gagné le pari, Ce chat me poursuit jusque dans mes nuits.
Les yeux bridés et allongés, comme si il pleurait, Les sourcils froncés et étirés, comme si il criait, La bouche tordue en un sourire moqueur, Lui donnait tant cet air ravageur.
Etre de cauchemar, tu me poursuis ! Tu as provoqué ma mélancolie. Même si j’en ai marre, tu restes dans ma vie. Tout ça à cause de mon pari !
Mais je le gagnerai ! Tu peux compter sur moi. Et je l’empêcherai de s’en prendre à toi ! Quand tu t’en sortiras, il criera et partira. Mais avant de s’enfuir, il m’assassinera.
Je ne sais pas quoi faire pour qu’il nous lâche. Si je fais mine de fuir il se fâche ! Il te poursuit mais je te cache, Et ne veux pas que le monde le sache.
Etre de cauchemar, lâche mes nuits ! Tu ne pourras pas la tuer, je vais la protéger. Etre de malheur, lâche mon esprit ! Mon amour est plus fort que ton agressivité. | |
| | | darkcristal Psychopathe des grands maux
Nombre de messages : 484 Age : 35 Date d'inscription : 04/06/2005
| Sujet: Re: poemes de darkcricri Ven 21 Avr - 21:13 | |
| Love
Oui, je dois t’aimer car loin de toi, J’ai l’impression d’avoir froid ; Je ne sais pas ce que c’est, Mais tu me pardonneras, je le sais.
On ne m’a jamais expliqué l’amour, Pour moi ça ne rime pas avec toujours. Je ne connais pas le verbe du cœur, Avec moi il a toujours été menteur.
Oui, je t’aime ! Mais tout l’amour que tu me sèmes, Ne m’empêchera pas d’avoir peur, Pas d’être déçue, mais de mon cœur. _____________________
Ma nuit
Il y a des fois où l’on s’ennuie, Et où la nuit devient une amie. Elle nous écoute, Ne connaît pas le doute. Et même si l’on pleure, Elle nous offre sa douceur.
La nuit est une bonne amie, Car même si elle se finit, On sait qu’on va la retrouver, Parce qu’elle dit : « je reviendrais ! »
Et soit le soleil la remplace, (Et nous étouffes à chaque fois), Soit la pluie menace, De nous enfermer dans nos parois.
Mais elle revient, Et nous soutient. Toutes nos joies ou nos malheurs, Ont une place en son cœur.
Je l’aime ma nuit, Car, comme moi, elle s’ennuie. ______________
Ma réalité
C’est la solitude qui nous apprend la peur, C’est quand t’es seul que t’as mal au cœur, Je me force à rire pour t’arracher un sourire, Mais bien souvent me heurte à des soupirs.
La vie a-t-elle un but ou une raison ? J’n’sais pas mais je trouve ma passion, Dans ma patience a aimer, Même ceux qui me connaîtrons jamais.
Ma vie n’a aucun sens mais souris moi, Car sinon je crois que j’pleurerais pas, Quand j’partirais loin de toi, Loin de cette terre trop pleine de lois.
J’veux mon cœur loin d’un coffre-fort. J’veux pleurer sans fournir aucun effort. C’est ma vie entre tes mains, J’t’en prie, laisse elle-même s’prendre en soin. ___________________
Melanie
j'ai fait un reve il suffit que je ferme les yeux pour penser a toi une vision breve mais je ne me souvenait meme pas de ça toi l'ange et moi le chat moi pensait me cacher de toi que personne ne me voit mais t'etait la t'as vu le chat t'as dit: "je suis une fée" j'etait hypnotisée t'etait tellement belle et t'etait vraiment reelle! t'as continué: "fais un voeu je l'exaucerais si je peux" j'ai juste demandé de ne pas t'oublier et tu m'a repondu: "voeu exaucé!" puis a moi l'enfant perdu t'a demandé si j'etait punie j'ai repondu: "oui ! surement ! _qu'est-ce que tu attend ?" je t'ai regardée et j'ai pleuré alors tu m'a consolée et t'as dit: " tu as trouvé !" puis on a dansé mais moi je comprenais pas! puis cette nuit j'ai revé de ça et j'ai compris toute ma vie j'ai attendu quelqu'un pour m'aider tu es la premiere personne a m'avoir trouvée mais tu es repartie sans rien dire comme tu es venue sans soupir certains m'ont dit que tu etait morte d'une maladie toi mon escorte! je n'y croyait pas ce n'etait pas la verité je ne voyait que toi la petite fée et j'ai revé et meme pleuré de ce moment attendrissant et j'ai compris que j'avais trouvé mon ange gardien et j'ai suivi mes pas dans les tiens et j'ai compris qu'on a dansé pour la vie et qu'on a marché ensemble la vie a fait qu'on se ressemble toi la fée irreelle un pure merveille moi le chat se cachant moi le chat revant l'un le reve l'autre le reveur l'un la vision breve d'un certain bonheur l'autre l'oublié de la vie qui perd tout ce qu'il a entrepris
j'ai fais ce reve comme une illusion breve et j'ai su que tu etait la et que je ne marchait pas dans tes pas mais que je suivait ma route et que tu etait avec moi et que coute que coute tu ne m'abandonnerais pas!! je ne t'ai pas oubliée tu ne m'a pas abandonnée! ____________
Mère connue
Pieds nus sur l’asphalte, De l’or plein les pattes, Tu cherches à vivre, Tu t’écris des livres.
Tu te bats tout le temps pour ton enfant, Pour lui construire un avenir consistant. Tu te fous des caméras, Tu te fiche des journalistes, Te moquant d’eux parfois, Pour vivre ta vie d’anarchiste.
L’amour peut t’aspirer, Comme la haine te rejeter. La nature peut t’inspirer, Comme la ville te détester.
Et le soir, comme le matin tu penses, Chaque fois sur la même fréquence : « Noir ou blanc on se ressembles. Chacun de nos pas nous rassemblent. Mais alors pourquoi battre son prochain, Si c’est pour dire qu’on se tient la main ? »
Et même si tu sais que se ressemblent les lendemains, Jamais le désespoir ne te parvient. | |
| | | darkcristal Psychopathe des grands maux
Nombre de messages : 484 Age : 35 Date d'inscription : 04/06/2005
| Sujet: Re: poemes de darkcricri Ven 21 Avr - 21:19 | |
| Mes larmes coulent
J’essaie de ne pas faire de montagne, Pour n’avoir aucun secours. Je hurle aux campagnes, Qu’il me manque l’amour. Je me demande alors, Où est parti mon âme sœur. A-t-il rencontré la mort ? Il en avait si peur.
Mes larmes coulent, Il est parti si loin. Le temps s’écoule, Je ne suis pas bien. Mon âme brûle, D’une colère lointaine. Mon corps hurle, De la plus grande peine.
Reviendras tu un jour, Me prouver ton amour ? Les anges me soutiennent. Mais calmer ma peine, Eteindre ce feu, aucun n’y parviens. Toi seul le peux, si tu y tiens. _________________
Mon amour
Mon amour, Je t’offre tout mon amour, J’y crois toujours, A double tour.
Mais quand tu cours vers elle, Quand ta bouche se pose sur elle, Mes larmes roulent, amères, Mon cœur fait gronder le tonnerre, Mon âme sent la colère, Et je la voue à l’enfer.
Tu oublis ce que je t’ai offert : Tout un monde en vers, Avec les mots que tu préfères. Elle, le cœur de pierre, T’offre un monde en rose, Elle t’offre des poses.
Tiens sujet de cause, Sais-tu qu’elle ose, Dans ton dos, pendant que tu te reposes, A d’autres hommes, faire la même chose ?
Vois les ondes qui courent, C’est l’amour, l’amour. Je te les offre mon amour, Par amour, amour.
Pour toi, pour moi. ______________
No comment
C’est bon les plombs ont sautés ! Je sens que ça va mal se terminer. La prochaine je la bute ; Car pour moi c’est une pute !
Pourquoi moi ? Pourquoi tout ça ? Mon âme se déchire, Faut que j’arrête de me mentir. Faut que je trouve le frein, Mais la vie c’est play, stop, eject, Il y a pause en rien, Mais faut pas que pour ça je me jette.
J’ai pas honte de ma vie, Et c’est pas ça qui m’ennuie. C’est plutôt les imbéciles, Qui rendent la vie moins facile. Nos rêves ne sont pas dociles, Et nos cœurs restent fragiles. Mais certains en profitent, C’est eux qui faut mettre sur orbite. _____________
Où tu es ?
Tu n’es pas là ! Tu ne l’as jamais été ! Dis-moi, papa, Où est-ce que tu es ?
Quand on me dit ton père est en prison. Je répond que c’est impossible, oh non ! Celui-là c’est pas mon père, Lui c’est mon enfer.
C’est à cause de lui si je suis dans ce monde, Mais que je ne sais pas si la joie abonde.
Ma mère m’a créée. Mon père m’a effacée. De ce monde que je ne peux survivre. Dans ce monde qui ne peux me suivre.
Même si j’ose tout dire, Il reste ancré dans mes soupirs, Il hante mes souvenirs, Et je rage contre ces photos sourires. ________________
Parce que
Parce que mon cœur pleure du sang, Que ma bouche crie dans le vent, Que mes poings frappent les murs, Et que mes yeux sont moins surs, Je le hais !
Parce que mon âme est massacrée, Que mon corps est pollué, Que mon enfance est déchirante, Que j’ai la place de la plaignante, Je veux oublier !
Parce que mes larmes ne coulent pas, Que pleurer ne l’atteint pas, Que lui écrire me fait mal, Qu’il connaît le coup fatal, Je ne veux pas l’attendre !
Parce qu’il m’a fait des misères, Que j’ai toute ma vie entière, Pour me dire que j’ai souffert, Et que je n’veux plus me taire, Je cherche à m’défendre ! | |
| | | darkcristal Psychopathe des grands maux
Nombre de messages : 484 Age : 35 Date d'inscription : 04/06/2005
| Sujet: Re: poemes de darkcricri Ven 21 Avr - 21:23 | |
| Parce que
Parce que j’ai plus envie de vivre, Parce que je n’ai pas de raison de survivre, J’ai même plus envie de sourire, J’ai qu’envie de pleurer, Mais je peux que me rappeler, Ce putain de souvenir. Y’a longtemps que j’ai lâché les armes, En fait dix ans, quand il m’a volé les larmes. Et je m’aperçois, Dans ces moments-là, Que le talent me revient, Et qu’il n’y a que lui qui me soutient. Et je me surprends à vivre dans le passé, Car ces moments sont durs à passer. Putain ! Moi, j’veux oublier ! Pas médiatiser ! La vie c’est dur, Ca j’en suis sûre ! Mais le plus dur à porter, C’est bien mon passé ! _________
Parce que !
Parce que c’est au bord du gouffre qu’on s’aperçoit que l’on n’a plus de freins. Parce qu’on vit l’époque où l’amour laisse place au coups de reins. Parce que c’est quand on est seuls qu’on est le plus fragile. Parce que c’est la peur qui nous laisse le moins tranquilles. Parce que l’on vient de comprendre que l’on peine plus que l’on aime Parce que c’est lorsqu’on saigne qu’on se rend compte de l’étendue du problème. Parce que c’est ma plume qui salit cette feuille, pas la tienne. Parce que c’est la haine qui me force au deuil, pas de problème.
Parce que je veux que tu comprennes, Que ce n’est pas la haine qui domine les : « je t’aime ! » _________
Pardonnez-moi
Pardonnez-moi de vivre autrement, Pardonnez-moi de ne pas être plus présente, Pardonnez-moi de donner vie à mes désirs, De vouloir à tout prix ne pas être la seule à sourire.
Pardonnez-moi de ne pas faire comme vous, Pardonnez-moi de ne pas obéir aux mêmes lois que vous. Pensez ce que vous voulez de ma vie actuelle, Tout ce que vous direz n’écorchera pas mes merveilles.
Je donne vie à des enfants que vous ne voyez pas, Mais ceux qui me comprennent les aiment comme moi, Ces rêves qui dormaient au plus profond de moi, Ces passions que je ne connaissais pas.
Ces rires qui m’ont trouvée et qui me plaise, Ces délires qui me font oublier ce monde de braises, Et puis mes amis qui m’aident à poursuivre, Tous ces rêves qui me font vivre.
Pardonnez-moi je ne vois pas le même soleil briller chez moi, Mon monde est différent, patient, content. Pardonnez-moi de vouloir vivre ces milliers d’éclats de joie, Mon monde est différent, c’est un monde d’enfant ! ___________________
Partie détestée
Elle est partie sans rien dire, Ne me laissant qu’un souvenir. Il y a quelques jours, quelques heures ou quelques années, Je ne sais plus mais elle s’est cassée. Elle est partie, je ne le verrai plus a présent, Elle est loin mais je me souviendrais souvent.
Regards perspicaces, gestes qui agace, Tout en elle attirait l’animosité. Histoire qui casse, amour qui lasse, En tant qu’amie je l’aimais.
Je l’ai vue mourir, je l’ai vue souffrir, Je l’ai calmée le soir, quand elle broyait du noir. Je l’ai vue pleurer, pleurer ce qu’elle était. On l’a forcée à vivre comme ça, Et elle en payait les droits.
Quoique ça te fasse, son histoire ne lasse. Tout le monde aime tant la remanier. Rien ne se tasse, même sa mort se passe. Et à cause de vous elle est partie détestée.
On lui écrit une histoire, loin de celle qu’elle espérait. Elle a longtemps vécu un cauchemar, mais voulait changer. Elle était mon amie, la seule qui me supportait. Elle avait des envies, vous les avez changés. Tout ce qu’elle faisait devenait sacrilège, De ses vêtements à ses fréquentations, Pourtant elle n’était qu’une enfant en manque de rêves, Une fleur qui étouffait sous vos discriminations. | |
| | | darkcristal Psychopathe des grands maux
Nombre de messages : 484 Age : 35 Date d'inscription : 04/06/2005
| Sujet: Re: poemes de darkcricri Ven 21 Avr - 21:26 | |
| Pas la peine
C’est pas la peine… Oui, je me souviens ! Ne me dis plus rien ! C’est pas la peine… De s’accrocher a ce destin : il touche bientôt sa fin !
Oh ! Combien ? Combien faudra t’il pour calmer son chagrin ? Son chagrin de t’avoir perdu aussi loin ? Aussi loin que je me souvienne, Elle avait la haine ! La haine ! La haine !
C’est pas la peine… Elle avait la haine, la haine, la haine… N’aie pas la haine… Tu lui as fait de la peine, la peine, peine… C’est pas la peine…
Oh ! Pourquoi ? Pourquoi fallait-il que tu boives ce soir-là ? Ce soir-là on ne s’attendait pas… S’attendait pas à ce que tu meures si subitement ! On a pleuré si longtemps ! Longtemps ! Longtemps !
C’est pas la peine… De stresser, de pleurer ! Oh non, non, non … C’est pas la peine… De crier, de frapper, c’est pas la même fonction ! C’est pas la peine…
Oh ! Comment ? Comment pourra t’elle revivre normalement ? Normalement elle devrait être dans tes bras en ce moment ! En ce moment je pense que ce destin va, Va continuer son chemin sans toi, sans toi, sans toi…
C’est pas la peine… De stresser, de pleurer, de continuer, non ! C’est pas la peine… De crier, de frapper, il faut oublier, oh ! C’est pas la peine… ______________
Pensées
C’est un regard de désespoir qui m’identifie. C’est quand mon cœur broie du noir que je me dis :
« Je ne suis pas toute seule, A m’être cassée la gueule.
J’en ai eu à rêver ou tenter la mort, Mais qui n’y pense pas encore ?
Peut-être même que la faucheuse, Est devenue âme bonne veilleuse ?
Tant de faux semblants, Sur une terre-vérité. Tant de faux marchands, De rêves oubliés ;
M’ont forcée à détester, Qui j’avais, j’ai et j’aurais, Pour l’éternité, A jamais gravés.
___________
Pensées profondes
J'comprend pas ! Que s'passe t'il ? Réflechir n'est plus aussi facile! Qui a pu choisir mon destin? Peut-il être de ma main? Quelqu'un cherche t'il à massacrer, Ce que beaucoup ont aimé ? Je sais pas, j'ai des doutes! Faut qu'j'comprenne coûte que coûte : Si mon destin à étè choisi, Celui d'autre aussi ! J'veux pas vivre des horreurs ! J'l'avoue ça m'fait peur! Yont survécu : mes trois soeurs, Même si ça fend le coeur. Ils ont tués leurs anges gardiens, L'amour ne vaut plus rien. Y'a plus rien qui nous retient, De tout reprendre en main. La haine m'emprisonne. Parfois j'me sens si conne, De pas avoir compris plus tôt, Que le monde n'est plus qu'un chaos. _Ca suffit on connait le disque, shut up! Eteind donc ce putain de pick up! _Ferme-là, tête de jackass! Il faut que le message passe. Hey! Combien de temps encore pour agir? On n'sait même plus réfléchir. Mon frère est mort, J'y pense encore. Je l'affronte, j'ai de la peine. J'ai pas honte, j'détruit la haine. Quand j'ai rien à faire, Je jette des pierres, Sur le chemin d'ma vie, Qu'est plus qu'un taudis. Mon père a commis une erreur, Telle que j'peux pas oublier. Mourir ne m'fait pas peur, Ce n'est qu'un cap à passer. De ma vie, j'ai tout oublié, vraiment ! J'sais plus c'qui s'est passé, tellement ! J'me sens coupable, De pas avoir été capable, D'aider ma soeur et mon frère: Leurs vies n'est plus qu'un enfer. Mais... merde! Faut réagir, bon sang! On passe notre vie à dormir, pourtant, Y'en a qui crêvent, y'en a qui meurent. Nous on rêve et eux ont peur. Y'en a qui font les fous; Y'en a qui dorment debout. J't'annonce que la vérité, J'veux pas qu'on s'fasse des idées. Hey ! Toi, si tu vis le ghetto noir, J'essaye juste de faire savoir, Que c'est la guerre et ça devient l'enfer. On pointe le doigt sur le jeune qui s'perd. On applaudit les cons, Et on r'pousse les bons. Ecoute ces pensées profondes! Tais-toi ! Ces pensées te sondent.
J'aimerais tant que le monde se bouge un peu; J'aimerais tant que le monde ouvre les yeux. _______________ Perdue
perdue decue oubliée enchainée... voici quelques mots qui me ressembles me rassemble
entrez dans ma prison et continuez a me detruire de toute façon ça ne peut etre pire...
mais quand vous en aurez fini et que j'arriverais a la fin de mes jours.. detachez moi et laissez moi crier a mon tour... que je ne cherchait qu'un semblant d'amour...
Meme un mensonge malsain m'aurait assuré un lendemain... Mais la je n'ai plus rien...
oubliez moi pardonnez moi mais je vous en prie ne pleurez pas puisque ces larmes-la n'existent pas...
Je me demande ce que j'ai fait pour meriter de vivre ainsi enfermée...
j'ai mal et je saigne et la douleur est reine je souffre et je pleure mais seulement dans mon coeur... mon corps ne laisse plus rien voir juste quelques horreur a savoir... la haine, le mepris et l'absence de vie...
je ne dis pas adieu je dis juste que je veux... un semblant de verité ou un mensonge bien placé... meme pour retomber tant que je peux continuer...
ouvrez ma prison laissez moi respirer meme si tot ou tard je devrais y retourner.. je veux juste en sortir ne serais-ce qu'une fois pour voir autre chose que ma vie sans loi ___________
Petite flamme
J’ai l’impression de tomber, Dans un gouffre sans fond, J’ai oublié la sécurité, Et ne vais pas pouvoir dire non. Je n’ai pas le choix, Il faut que je me ramasse. Attend ! Mais avec quoi ? Je ne comprends même pas ce qui se passe ! Putain ! Quel beau bordel : Je vois même plus le ciel. J’arrive même plus à sortir, Et on me dit de ralentir ?! Des mois de thérapie perdus, A cause d’une lettre. La lettre de celui qui m’a mise nue, En moi, la mort se rejette. What a life! What a crime! I don’t want living here, ‘Cause this world is in bloodshed. Il faut avouer que j’ai peur, Peur de futur malheur. On m’a dit qu’il n’y a pas de raison, Mais d’autres ne sont pas en prison. J’ai choisi ma mission, Désormais je fais attention. C’est presque une passion, Qui me fait tourner en rond. Mais en moi brille l’espoir, De me sortir du noir. | |
| | | darkcristal Psychopathe des grands maux
Nombre de messages : 484 Age : 35 Date d'inscription : 04/06/2005
| Sujet: Re: poemes de darkcricri Ven 21 Avr - 21:37 | |
| Peur
Peur, si profondement ancrée en moi, Terreur, Qui me mets hors de mes etats...
Solitude, Souffrance amer et polie, Plenitude, De retrouver un enfer si sordide _______________
Phoenix
renaissance accomplie pour lui mais moi je suis encore ici! je sens encore, sur cette planete, des relents de morts qui me montent a la tete! une odeur qui m'est familiere je la connait depuis que je suis née! c'est celle de l'enfer dans lequel on m'a plongée! s'il vous plait egarez moi perdez moi mais ne pleurez pas! s'il vous plait je voudrais juste encore continuer de rever, juste m'eclipser dans un monde parfait! je n'y avait jamais eut droit jusqu'a ce que je devienne moi! je voudrais juste trouver le toit qui me protegera! je voudrais savoir si ya un "toi" qui m'attend loin de tout ça! dans ce cas je quitteras terre et mere pour parcourir la terre entiere! le trouver le serrer dans mes bras et si possible en pleurer de joie! finis les souffrance et l'errance place a l'esperance! _____________
Brik à brakage.
J’en ai marre qu’elle calme ses nerfs sur moi. J’ai envie d’la buter ! Non, j’peux pas m’calmer, désolée ! J’en ai marre de subir ses crises. Tant mieux si c’est plus mon amie : elle m’a gavée, m’a explosée. Je sais que c’est un bébé mais elle a foirée, enfoiré ! J’la croyais ma meilleure amie et elle m’a baisée. Non ! j’peux pas m’calmer ! Oui ! J’ai craquée ! J’en avais marre qu’elle calme ses nerfs sur moi alors je l’ai tuée ! Dans un endroit du ghetto noir j’connais un gars c’est un camé ! Il m’a donnée une arme et j’l’ai achetée. Puis j’suis allée chez elle, j’ai sonné, elle a ouvert, j’ai tiré, elle est tombée ! Et elle a saignée, sa mère a crié, sa sœur a pleuré, son frère m’a frappée. Je me rappellerais toujours le regard empli de désespoir qu’elle m’a lancée avant de tomber dans le gouffre hideux de la mort. On me laisse pas croire que j’pourrais me réintégrer et j’pense qu’à une chose et encore… Je pèse mes mots ! Je pèse mes maux ! Et pourtant j’aimerais tant que tout s’arrête ! Mais pourtant souvent je regrette ! J’ai peur de tout dire et qu’on me traite de folle. Déjà que la prison est pire que les heures de colles. Je préférerais qu’on me haïsse pour ces putains d’heures gâchées. Plutôt que pour une minute a la con d’avoir été : Un assassin qui assassine ses amis les plus chers. Et qui entends sur son passage les gens lui scander : « meurtrière ! » Tueuse d’un soir. Tueuse du miroir. Celle qui comptait, Tu l’as tuée ! Pourquoi as-tu fais ça ? Avec un regard et des gestes aussi froids ? Assassin d’un jour ! Assassin de toujours ! Assassine un jour, ça te poursuivra toujours ! Jusqu'à la fin de tes jours, Les gens t’crieront leur haine tour à tour. Devenue folle un soir, devenue folle du noir. Je veux pas finir mes jours en prison. Je sais que ce que j’ai fait est con. Mais je veux qu’on arrête ; De me traiter de proxenéte, C’est pas parce que j’ai tué, Que j’ai aussi violé. Je suis une tueuse, Mais pas une violeuse, Je n’ai plus de frontières, Je ne sais plus ou m’arrêter. Mes larmes réunies ont formées une mer, Elle est pas bleue elle est noire de mes pensées. La mer de la haine, l’a encrassée, La mère de la peine, j’ai été. Je veux arrêter de penser à la réalité. Je veux essayer d’oublier que vous me haïssez. J’en ai marre que vous calmiez vos nerfs sur moi. Je veux qu’on arrête de me dire tout ça. Arrêtez ! Vous avez craqués ! Je veux tout recommencer. ___________________
Poemes courts
"Odeur de mort Acre souffrance, Rouge effusion."
"Lumiere vivace Eblouissante sphere, espoir."
"Chemin abimé Pieds fatigués, Arrivée."
"Pulsions entêtante respiration sifflante, Adrenaline."
"Clin d'oeil fugace Secondes rapaces, Peur."
"Chemins entremélés Même air respiré, Baiser."
"Corps entrelacés Même malheur partagés, Mort double."
"Sourire fatigué Rejet instantanné, Sentiments oubliés, Temps qui passe."
"Perdition trouble, Fusion fourbe, solitude."
"Larmes interieures, Fatigue solitaire, Coeur souffrant, Amour impossible."
________________
Questions du futur
Est-ce qu'un jour quelqu'un pourra me faire sourir ? Est-ce qu'un jour enfin je pourrais dormir ?
Est-il possible que j'arrêtte de me mentir ? Est-il possible que j'arrêtte de penser à mourir ?
Pourrais-je vivre un jour normalement ? Pourrais-je enfin grandir comme les autres enfants ?
Aujourd'hui, tout va mal. Et mon amour se sent pâle.
Les murs m'emprisonnent. La vie m'empoisonne.
Que pourrais-je dire d'autre ? Alors que je suis prise en faute. ___________
Questions
Mourir, pour un soupir. Souffrir, pour un plaisir. Aimer quelqu’un qui pleure, Eviter, de lui faire peur.
Quand est-ce que l’on comprendra, Que les valeurs ne sont pas, Un nom, une façon ou un visage, Même si chaque trait possède un âge ?
Pleurer, pour une naissance. Crier, quand on y pense. Souffler, sur une fleur, Afin que son parfum nous effleure.
Que faut-il faire pour un sourire, Pour qu’il ne meurt jamais, Qu’il passe dans chaque soupir, Et demeure dans chaque pensée ?
Haïr, une mauvaise pensée. Rejeter, chaque fleur fanée. Ecrire, nos erreurs pou ne pas les refaire. Griffer, les pages du livre de l’Enfer.
A quoi bon gagner le monde, Sans goûter la joie qui abonde ? Si l’on meurt seul et malheureux, A-t-on eu tout ce que l’on veut ?
Cracher, sur le visage des ennemis, Lorsqu’à leur tour ils vous prient, De décider du sort de leur vie ; La mort ne les aura pas assez punis.
Que vaut un rêve face à une guerre ? Que vaut un enfant sans son père ? Que vaut une l’étoile dans le ciel, Qui indique qu’un nouvel espoir douceur miel, Vit en plein cœur d’un enfant ? Afin qu’il vivent éternellement… | |
| | | darkcristal Psychopathe des grands maux
Nombre de messages : 484 Age : 35 Date d'inscription : 04/06/2005
| Sujet: Re: poemes de darkcricri Ven 21 Avr - 21:44 | |
| Questions réelles
Peut-on penser ? Peut-on aimer ? Cette terre est trop désespérée, Pour pouvoir oser contredire, Les horreurs que nous nous faisons subir. A-t-on oublié que l’espoir et la fraternité, Etait beaucoup trop faible pour surmonter, La mort, la haine, la rage et la violence, Car ils vivent d’amour et de patience ? A-t-on réellement cherché, Les réponses a nos questions ? Je veux savoir si c’est vrai, Que l’amour laisse place à l’ambition ? Je me demande ce qui vaut le plus cher, Entre une vie et cent balles, Quand je vois que nos frères, Sur le trottoir, crèvent la dalle. Au fond j’ai l’impression, Que la vie reste à l’abandon. Ma vie me demande d’être vécue ; Mais comment faire si l’amour n’existe plus ? Je veux aimer, pleurer et me sauvegarder, Je veux que mes enfants m’aiment et ne puissent m’oublier. Je veux sourire, rire alors que soupire, L’espoir, Puis s’apprête à mourir. Je me demande quand on comprendra, Qu’avec le feu on ne rigole pas, Qu’avec l’amour on ne joue point, Surtout quand la rage revient. ______________
Qui je suis ?
Qui je suis pour te dire de t'arrêter ? Qui je suis pour te dire de te calmer ? Qui je suis pour te dire de pas faire ça ? Qui je suis pour que tu ne m'écoutes pas ?
Veux-tu vraiment savoir qui je suis ? Je te le demande, refléchis je te prie. Il n'est pas temps pour les questions sur moi. Mais qui je suis bientôt tu sauras.
Pourtant tu devrais déjà le savoir. Mais tu ne veux juste pas le croire. Pour toi je ne devrais pas exister. Qui je suis, vraiment, dans tes pensées ?
Tes questions me semblent si stupides. Parfois tu est si loin d'être lucide. Qui je suis tu ne le crois pas. Pourtant je suis un bout de toi.
Qui je suis pour vouloir t'aider ? Qui je suis pour t'apprendre la vérité ? Tu veux savoir qui je suis ? Trés bien ! Je suis là pour te protèger : ton ange gardien. _____________ Un regard
Il a suffit d'un regard pour tout détruire, Il a suffit d'un soir à vomir. Il a suffit que je te vois, Un soir, nu dans ses bras. Tu me dis que c'était une erreur. Tu me dis qu'elle n'aura pas ton coeur. Mais je ne l'ai pas eu non plus. C'est avec tes mensonges que tu m'as eue. Donnez-moi autre chose que d efaux espoir. Autre chose que la mer a boire.
" Je te le promet je ne recommencerais jamais ! " C'est la seule excuse que tu as trouvée. Tu sais qu'avec moi, Trahir ne passe pas. Je ne t'aime plus et on ne m'achette pas. Même ton coeur nu ne m'interresse pas.
Tu te moque de moi ! Chaque jour, chaque nuit. Tu te joue de ça. A chaque jour, chaque envie. Tu brise l'union toi-moi. Chaque goutte de pluie, Me sépare de ça, Alors maintenant, fini !
Pourquoi m'envoyais tu des lettres ? Pourquoi disais-tu : je te guette ? Tu me criais des je t'aime ! Et maintenant des je peine ! Mais je m'en fous. Tu es à genoux. Et je ne veux plus de toi. Car tu ne m'aime pas. _________________
Sans commentaire
On t’a dit : « ferme ta gueule, salope ! » T’as laissé faire, et tu écopes ! Mais que pouvais-tu faire valoir, Face a des mecs qui baisent et brisent l’espoir ?
Putain ! Ta vie t’appartient ! C’est à toi de la prendre en soin ! Débats-toi ! Défends-là contre les enfoirés, Qui veulent a tout prix te la voler.
‘Faut détruire le désespoir, Et combler le gouffre noir, Que représente la mort. Mais faut le faire encore !
Crois-tu vraiment, Que maintenant, L’amour dure moins longtemps, Qu’il ne marque plus le temps ?
‘Faut oublier le passé, Car il ne peut que massacrer, L’espoir qu’on a de bâtir, Un monde avec avenir.
Mais, ‘faut le faire maintenant, Même rien que pour nos enfants. Pour que la génération qui suivra, Ne souffre pas de ça. ______________
sans queue ni tete
Notre âme est exposée au temps, Comme une brindille au vent. Fragile en cas de tempete, Dieu sait qui y resistera... Solide en vision de conquétes, L'avenir seul nous le dira...
Si l'on aura ce que l'on voudra, Ou si l'on mourra plus qu'en bas... Explose ton intimité cachée, Pour nous laisser crever en paix. Explique nous une fois pour toutes, Tes problemes, Et ce qui te coute, Tant de peines...
Pleures si cela t'arrange, Car saches que seuls les anges, Sont capables d'un tel phenoméne, Sans savoir ou celui ci nous emmenes... _______________________
Il attend, Assis sur les preceptes de l'inconnu, Il attend, Il veut savoir la verité nue.
Et il attend! Il attend que quelqu'un vienne achever son errance, Il attend, Que sa mere lui donne toute sa puissance.
Il ne se pose plus de questions, il vit pour elle, Il attend, Il sait qu'on viendra interrompre son sommeil, Il attend.
La riviere de la vie lui rendant gloire, Il attend, Puis il revient grace a la materia noire, Il attend.
Il est de retour, Plongeant le monde dans une deferlante de destruction, Il est de retour, Pour se faire tuer a nouveau par un soldat a l'abandon.
Omnislash present dans toute ses fonctions, Il est mort, Detruit par ce soldat en sous-consideration, Il est mort. | |
| | | darkcristal Psychopathe des grands maux
Nombre de messages : 484 Age : 35 Date d'inscription : 04/06/2005
| Sujet: Re: poemes de darkcricri Ven 21 Avr - 21:48 | |
| Si il existait?
Et si il existait? Ce personnage que j'ai créé imaginé, dessiné et tout de suite aimé Et si il etait vrai?
Est ce qu'il accepterait d'etre avec moi? De supporter mes crises de nerfs et de joie? Serait-il capable de m'aider comme je l'attendrais?
Me laissera t-il l'aimer et l'aider? Me laissera t-il l'approcher? Me laissera t-il le faire rire? Me laissera t-il a sa place, souffrir?
Mais ce n'est que des si pas des la, des do, des mi ni meme des mises sures et certaines Je le sais meme si c'est dans la peine Que je m'endors encore cette nuit En revant d'une autre vie... __________________
Si le temps
Je crois que tu dois partir. Je sens que tu dois mourir. Mais si le temps s’en fiche enfin, Je sais que je ne croirais plus en rien.
Si j’ai oublié le monde et les autres, Ce n’est pas tant de ma faute. C’est parce que je t’aimais trop, Que je suis tombée de haut. Mais si le temps désire se calmer, Je n’attendrais que toi désormais.
Si sur mon cœur bat la tempête, Les autres continuent leurs conquêtes. Moi je ne m’en occupe plus, je m’en fous. Mais si le temps veut me faire tenir debout, Qu’il te ramène prés de moi. Car c’est en toi seul que je crois.
Mais si le temps ne s’occupe plus des siens, Moi je ne croirais plus en rien. Mais si le temps s’en fiche enfin, Je sais que je ne croirais plus en rien. Mais si le temps désire se calmer, Je n’attendrais que toi désormais. Mais si le temps veut me faire tenir debout, Qu’il s’occupe de moi après tout ! __________________
Stop souvenirs
On peut croire que c’est une affaire classée sans suite, Mais maintenant la rage et moi, on est quitte. Je n’ai plus peur d’aimer, Ni d’être aimée. Et être aimée par lui, Ca vaut plus que ma vie. Et tout autour du monde, Je suivrai cette joie vagabonde. Même si il faut tomber, Je sais sur qui m’appuyer, Pour me relever, Et me remettre à marcher. Même fatiguée’ Je continuerai. Je serais capable de courir, Pour ne manquer aucun sourire. Je pourrais presque mourir, Pour revoir un souvenir. Ce temps est tellement beau, Même si il pleut dehors. En moi c’est le chaos, Plus rien n’entre en accord. Oui j’aime, je le sais, Je n’ai pas besoin de me le répéter, Mais je ne peux m’empêcher de penser : « Est-ce que c’est vrai ? » ____________________
Suicide
je l'ai longtemps voulu! cette mort si mal vue! je l'ai tenté tant de fois! mais elle ne voulait pas de moi!
pourtant j'aimerais laisser tomber! tout oublier! tout effacer! mon passé a double tranchant! mon passé purement sanglant!
qui rend plus forte mais qui detruit! je ne veux plus vivre pour lui! je veux etre la pour moi! pour vous! pour nous! pour tout! pour etre mon propre roi! sur un monde de fous! _________________
Le survivant
Un bruit du tonnerre, sur notre bout de terre; Un visage sortit d'un paysage d'enfer. Son corps se redresse doucement, Et l'on reconnaît un enfant. Lentement son esprit comprend l'horreur, Comprend ce qui vient de lui faire si peur. Autour de lui il n'y a ni vie ni espoir, Il n'y a même plus rien à voir. Dans le ciel il voit les avions, Qui, maintenant, s'en vont. Ses habits sont ensanglantés. Mais il n'y a pas que son sang qui a coulé. Ses yeux brillent, sa vue se brouille, Ses cils et ses paupières se mouillent. Il a envie de crier, il a envie de tout casser, Mais il n'y a plus rien et personne ne l'entendrait. Une larme roule sur sa joue, Glisse, avec elle, la poussière, Jusqu'à son cou. Il ne prend pas la peine de l'essuyer, Il sait que d'autres prendront le relais. Le ciel est plein de nuages prêts à exploser. L'enfant a huit ans et en paraît cent. Il baisse les yeux et trouve une image à regarder. Il ressemble à une photo d'antan. A ses pieds gît un livre d'enfant, La maîtresse en lisait une page chaque jour, Et il écoutait en imaginant. L'école était sa seule source d'amour: Il n'avait ni frère, ni soeur, Et sa mère n'avait pas de coeur. Son père était mort au combat, Il était "enterré" là-bas. Il ne connaissait pas la fin de l'histoire, Mais jusqu'ici avait gardé l'espoir. Il s'accroupit, ramasse le livre massacré. Maintenant la fin de l'histoire il la connaît: Comme le héros il ne voulait pas grandir. Il s'assit et laissa ses larmes s'endormir. En lui il n'y avait plus rien d'enfant, Il avait grandit, comme Peter pan. Il s'allongea et attendit. Rien ne vint à part la pluie. Les avions avaient tout détruit. Le village n'était plus que débris. Personne ne devait le revoir; De toutes les façons personne ne le pouvait. Et quand tomba le soir, De manque d'espoir l'enfant mourrait. | |
| | | darkcristal Psychopathe des grands maux
Nombre de messages : 484 Age : 35 Date d'inscription : 04/06/2005
| Sujet: Re: poemes de darkcricri Ven 21 Avr - 21:51 | |
| Talent fatigué.
Je n’ai plus envie de faire de poème, Peut-être ai-je trop épuisé les mots ? Qui s’unifiaient pour chanter ma peine, Ou pour faire le partage entre mes maux.
Le talent, une fois révélé, Ne peut s’oublier. Mais peut-il abandonner, Lorsqu’il a trop donné ?
Peut-être la fatigue joue t’elle ? Peut-être le désespoir endort nos cellules ? Le poème est peut-être immortel, Mais son créateur finit amorphe de pilules ! Je ne veux et ne peux pas supposer, Mais peut-être mon talent m’a fuit. Il voulait sûrement la paix, Mais je suis une machine a ennius.
Parfois, pris de remords, il revient, Et dans ces minutes c’est ma main qu’il tient. Je lui demande une goutte de son savoir, Afin que quelques temps j’oublie mon gouffre noir.
Malheur à moi, si je l’oubli, Car c’est mon premier ami. Ce n’est pas lui qui est fatigué, Mais moi qui ne parviens pas à pardonner. _______________
Tellement
Les coups qu’il m’a portés, Sont restés ancrés, Non seulement dans ma chair, Mais aussi dans mes nerfs. J’ai tellement pleuré, Que mon âme a séchée. Je l’ai tellement haï, Que le parfum de cette haine me suit. Mes neurones réfléchissent à toute allure. Je n’ai que la folie comme voiture. Et les questions viennent une à une : « Pourquoi ai-je eu mauvaise fortune ? » « Pourquoi ai-je tellement souffert ? » « Pourquoi ai-je vécu l’enfer ? »
Les mots qu’il m’a criés, Sont restés vérités. Ils ne s’oublieront pas, Et resteront témoins de ça. J’ai tellement crié, Que ma voix a changée. Je lui ai tellement servi, Que je reste esclave de son emprise.
Je travaille tellement mon architecture, Que sur moi s’écroule toute sa toiture. Et reviennent les phrases qu’il m’a jetées : « Tu ne sers à rien, je te hais ! » « Tu ne vaux pas plus qu’un objet ! » « Je me demande pourquoi tu es née ! »
La haine que je lui voue, N’est pas responsable de ses coups. Coups de sang ! Coups de sexe ! C’était un monde complexe. J’ai tellement peur de le suivre, Que je n’ai plus envi de vivre. Mais j’ai tellement la rage de m’en sortir, Que j e veux lui prouver que je sais sourire. Et surviennent les coups durs, Les coups de poings dans les murs, L’envie de se jeter sous une voiture, La vie dans un monde plein de ratures.
J’ai tellement la rage contre lui, Que me lever le matin m’ennuie. J’ai tellement peur de sa sortie, Que j’ai envie de fuir d’ici. J’ai tellement envie de le tuer, Que je ne peux m’empêcher de m’entraîner. J’ai tellement peur de le revoir, Que je me cache des miroirs. Car ses coups de sang sont devenus les miens, Il m’a tellement appris à me durcir contre les siens, A ne plus sentir la douleur, A ne plus respirer la peur, Que j’entretiens cette haine contre lui, En la retournant contre moi et mes soucie, Et mes coups ont suivis, Ils deviennent cause de ma vie.
Je l’ai tellement trouvé con, Que je lu ait donné une leçon ; Il a tellement touché mon corps, Que j’en tremble de rage encore. Il a tellement cogné ma peau, Que mon enfer le prend dans son étau. Il a tellement brûlé mon cœur, Que je n’ai plus de douceurs. Je lui ai tellement obéi, Que son esclavage me suit. J’ai tellement peur de continuer, Que je n’ose plus bouger. J’en ai tellement marre, Que je ne peux plus me voir.
La peur, la rage, la haine sont mon quotidien, Sans elles je ne peux plus rien. ______________________
Ton nom
Dans l’ombre, j’écris ton nom ; Dans la haine, j’écris ton nom ; Dans la peur, j’écris ton nom ; En plein soleil, j’écris ton nom ; Et sans toi, j’ai froid ! J’ai froid dans mon cœur, froid de toi.
Sur les nuages, j’écris ton nom ; Sur le sable, j’écris ton nom ; Sur ma peau, je grave ton nom ; Dans mon âme, ton nom est gravé à jamais ; Et sans toi, j’ai peur ! J’ai peur dans mon cœur, et peur de moi.
J’écris ton nom sur les murs ; J’écris ton nom dans les yeux des passants ; J’écris ton nom dans l’amour ; J’écris ton nom de peur de t’oublier ; Et sans toi, je pleure ! Je pleure dans mon cœur, je pleure de toi.
Je t’en pris, aime-moi, Car je t’aime, moi. ________________
Tristesse
juste laisser couler une derniere larme... meme si elle n'est que mentale... juste retrouver le coupant d'une lame... sur ma peau deja si pale...
Non pourquoi dois-je en arriver la? pourquoi dois-je m'enlever la vie je ne suis pas coupable! mais dans ce cas pourquoi ai-je si mal? est-ce mon ame qui ne se retrouve plus sur ce monde incapable?
j'ai envie de pleurer... Mais je ne sais plus ce que c'est... __________________
Vampires
Crocs acerés, Vie a crever, Triste delire psychotique, Dans un regard hypnotique.
Du sang sur les mains, Et tu ne ressent rien. Du sang dans l'estomac, Tu ne te nourris que de ça.
Le jour te detruit. La vie te maudit. La nuit est ton amie. Et le crime ton jeu favori.
La douleur de la mort, A trouvé place en ton corps. Quand tout le monde s'endors, Fais vivre ta soif de haine encore et encore!
Toi qu'on apelle ange dechu, Vampire ou fléau de Dieu, Tout ce que tu n'a pas voulu, Se trouve dans ce pieu. ________________
Vas-y papa
vas y tue moi fais le la! fais de moi ce que tu voudra de toute façon je n'ai pas l'choix!
vas y papa vas y detruit moi! vas y papa dis le encore une fois vas-y papa je le sais qu't'aime ça vas-y papa que je te haisse encore une fois!
je suis entre tes draps papa je saigne papa encore une fois tu me detruit pour ta joie je voudrais mourir ces jours-là
vas-y papa que je meure sous tes doigts vas-y papa tue moi encore ce soir-la vas-y papa je sais que tu n'attend que ça vas-y papa que je te haisse encore une fois!
papa le demon c'est toi papa l'ange mort c'est moi papa l'assassin c'est toi papa je sais que c'est toi
vas-y papa ne te cache pas vas-y papa tue le l'ange en moi vas-y papa que je me venge un autre soir vas-y papa que je te haisse encore une fois!
papa ne te cache pas tu me fais plus peur papa je ne suis pas loin de cette lame avec ma haine resplendissante en moi
vas-y papa la c'est a moi vas-y papa je te detruit cette fois vas-y papa creve pour moi vas-y papa je t'ai haï une derniere fois
papa le couteau te fais-t'il mal? pense que j'ai souffert pareil moi tu as detruit l'ange papa mais il est toujours la l'ange s'est retourné contre toi l'ange est plus fort que toi il t'a tué papa avec son ame et ses larmes mortelles armes pire que ton ame ________________ WAR !!!
Si tu entends ça c’est qu’il est déjà trop tard ! Si tu entends ça c’est que le monde broie du noir ! Si tu entends ça c’est que j’peux pas faire autrement ! Si tu entends ça c’est que tu t’y attends !
Cette putain de guerre, Qui ronge nos hémisphères, Continuera t’elle encore, A chercher ma mort ?
Si elle veut la mienne, Elle veut aussi la tienne ! Fait gaffe à ta peau, Elle sera bientôt sur ses os !
Fais gaffe À ton sang, Où il fera le temps ! La pluie qui coulera, Pourrait venir de toi, Fais gaffe à ça !
Si tu entends ça s’est qu’on a besoin de toi ! Alors écoute-moi, car j’ai écris ça pour toi ! C’est la dernière fois ou j’pourrais pleurer, Te parler, sans me faire tabasser ! Alors si t’entends ça… Ecoute bien ! Dis-moi que j’cris pas pour rien !
Entends tu ton cœur, Te dire : « N’y vas pas ! Moi, j’ai peur ! T’as pas besoin d’ça ! » ?
Entends tu ta mère, Pleurer le soir ? Sais-tu que ton frère, Vis un cauchemar ?
Dans trois jour, il part. Il sera trop tard. Comme ton père, là-bas il y mourra.
Si tu entends ça, aide-moi ! Cris avec moi ta haine de cette merde. Cris avec moi que tu as déjà trop de pertes. Ton père, ton frère, ta mère, ou toi ? Qu’est-ce qu’il restera ?
Une veuve qui pleurera tout les soirs. Et qui, avant de finir dans le noir, Criera peut-être sa haine de la guerre, Criera qu’elle a perdu mari, fils, et terre.
Alors, avant qu’elle te perde toi, Crie que toi tu ne veux pas. Pourquoi crois-tu que je suis enfermée là ? Loin de tout et lin de toi. Parce que j’ai osé parler. Au moins je sais que je vivrais. Même en taule je suis heureuse. Car je me sais emmerdeuse… de la guerre… et de l’enfer. Si t’entends ça continue pour moi, Cris pour moi, gagne le combat. ___________________________
Et voilà j'ai fini (enfin!!!)
ça fait un paquet hein?! | |
| | | nagashi-kun addicted of kingdom Hearts
Nombre de messages : 211 Date d'inscription : 07/06/2005
| Sujet: Re: poemes de darkcricri Dim 23 Avr - 0:13 | |
| un sacré paquet de poème Oo ( on peut penser que je les ai lus rapidement mais je les avaient déjà tu me les avaient passés)
t'as un vrai talent personellement tes poèmes me font un effet ...enfin non des effets vraiment spéciaux (je sais pas comment le dire) mais ça passe par tous les états ....
(au fait un peu Hs mais tu m'as toujours pas dit si la musique pour "chère Laura" ça allait ^^°°°°°° faut pas hésiter hein ?? ) | |
| | | darkcristal Psychopathe des grands maux
Nombre de messages : 484 Age : 35 Date d'inscription : 04/06/2005
| Sujet: Re: poemes de darkcricri Lun 24 Avr - 12:34 | |
| (hs=)
je t'en avait parlé je t'avais dit que la zik etait bien trop rapide pour ce que je m'imaginais
(/hs)
Oui mais j'ecrit plus beaucoup de poemes | |
| | | Gidget amical
Nombre de messages : 218 Localisation : Long Hard Road Out Of Hell Date d'inscription : 28/06/2005
| Sujet: Re: poemes de darkcricri Lun 24 Avr - 18:55 | |
| Tu en a surement écris plus que moi j'en ai écris en 4ans XD | |
| | | darkcristal Psychopathe des grands maux
Nombre de messages : 484 Age : 35 Date d'inscription : 04/06/2005
| Sujet: Re: poemes de darkcricri Mar 25 Avr - 10:58 | |
| j'ai pas tout tapé a l'ordi parceque certains ont ete ecrit quand j'avais onze ans et j'etait encore une petite fifille un peu (beaucoup, carrement meme) lunatique donc les poemes sont tres cons.... et pueriles
enfin voila | |
| | | nagashi-kun addicted of kingdom Hearts
Nombre de messages : 211 Date d'inscription : 07/06/2005
| Sujet: Re: poemes de darkcricri Mer 3 Mai - 21:23 | |
| - darkcristal a écrit:
- j'ai pas tout tapé a l'ordi parceque certains ont ete ecrit quand j'avais onze ans et j'etait encore une petite fifille un peu (beaucoup, carrement meme) lunatique donc les poemes sont tres cons.... et pueriles
c'est pareil pour moi sauf que moi j'ai 17 ans XDDDD (je vais rester dans le dessin et la fabrique de cierge ^^°) en tout cas c'est vraiment superbe *o* | |
| | | Contenu sponsorisé
| Sujet: Re: poemes de darkcricri | |
| |
| | | | poemes de darkcricri | |
|
Sujets similaires | |
|
| Permission de ce forum: | Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
| |
| |
| |